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  • #42071
    g.p
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    Et encore un raté !

    #42072
    marysha62
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    après avoir écrit mon texte,maintenant j’écris strong entre guillemets et je copier coller devt ts les mots ensuite j’ajoute le / et copier coller derrière le mot;après il s’efface tt seul

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 6 mois par marysha62.
    #42074
    thelog
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    Salut Mary GP et Queeny
    Moi je fais pareil que Mary
    je place un premier < strong > (en enlevant les espaces entre les <>) devant mon premier mot, je le sélectionne et je fais un copier (CRTL+C : en windows) et alors je me place devant chacun des autres mots et je fais le coller qui va bien (CTRL+V : en windows) puis je reviens sur le premier mot et à sa fin je refais un coller et puis j’ajoute le « / » entre le < et le s de strong puis je sélectionne cette nouvelle borne (< /strong > : toujours sans les espaces entre les <>) et je fais le copier et puis je colle cette borne à la fin de tous les autres mots.
    Je sais ça fait beaucoup de blabla, mais ça marche et du coup il y a moins à taper.

    Vous savez quoi , vu l’heure je vous mets en prime les mots de demain:

    Barber
    Concocter
    Espingole
    Lai
    Immobilité
    Simple

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 6 mois par thelog.
    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 6 mois par thelog.
    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 6 mois par thelog.
    #42080
    thelog
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    Je viens de lire vos compositions Mary et GP et je vous donne un « A++ » c’est la plus haute des notes (maintenant qu’il n’y a plus de notes sur 10 ou sur 20. Au fait GP c’est cul-de-plomb et non cul-de-poule serait-ce un lapsus révélateur ???
    Ton histoire m’a fait « sniffer » Mary (entends par là une petite larme à l’oeil) et celle de GP montre que même si on a pas tous les outils au départ, on peut faire son trou et bien souvent à la fin le nid est magnifique (en parlant de l’oiseau qui fait son nid, vous avez compris)

    Passons à mon histoire

    Titulariser : Rendre (qqn) titulaire d’une fonction, d’une charge qu’il remplit
    Mirer : Regarder attentivement, Lorgner, convoiter. / spécialement Examiner (un œuf à contre-jour) pour vérifier sa fraîcheur.
    Fourré : un paysage dans lequel les buissons et broussailles sont nombreux, denses / doublé de fourrure
    Colonel : Officier supérieur ou Dessert composé de sorbet au citron et de vodka
    Cul-de-plomb : Personne lourde, sans malice, Sans vivacité d’esprit, obtus
    Background : Ensemble des acquis , contexte , arrière-plan

    Le soir, Julien retournait chez lui et comme personne ne l’attendait, s’arrêtait chez Gégène le bistrot qui fait le coin de sa rue. Il prend alors toujours la même chose : « un colonel, Gaston ». Le barman connaissait bien Julien et son SORBET il le préparait toujours à l’avance et le laisser dans le frigo en attendant l’animal.
    « Alors , ils t’ont titularisé maintenant les grands pontes ? »
    « Tu penses, que nenni ! je ne sais pas ce qu’ils attendent … ça fait 5 ans que je bosse comme un malade dans cet établissement et pas une augmentation, aucune reconnaissance ».
    Puis Julien dégustait son COLONEL et s’en retournait chez lui dans cette chambre de bonne, pas moyen d’avoir mieux.
    Pourtant devant la conseillère à l’emploi son background scolaire était de plus impressionnant et il pouvait prétendre à une belle carrière dans l’éducation. Il briguait une place dans un lycée très renommé, mais il venait d’un milieu modeste et ce fut un cul-de-plomb qui eut le poste. Mais voilà, son « Papa » faisait de la politique Alors …
    Malgré tout ça, Julien avait un jardin secret qu’il choyait avec Amour. Il aimait en ,car sa timidité l’empêchait de se déclarait, la petite Sophie qui enseignait au même étage que lui. Souvent ils se croisaient et leurs regards s’entrechoquaient. Il aurait fallut être aveugle pour voir que ces deux-là s’aimaient sans se le dire. ça sautait aux yeux.
    Donc Julien était des plus prévenant avec elle et d’une courtoisie extrême. Elle répondait avec tendresse à toutes ses petites attentions et lorsqu’ils étaient ensemble leur soleils brillaient de mille feux. Un vrai bonheur.
    Un jour qu’ils se baladaient sur l’avenue principale de la ville, Sophie s’arrêta devant une petite boutique et mira les articles exposés. Julien la regarda et vit ce qu’elle observait avec autant insistance : une bague de fiançailles.
    Comme il avait un peu d’argent dans un gant fourré de Noël, il « cassa » sa tirelire, pour ainsi dire et un matin demanda, à genou, la main de la jeune fille.
    Tous les profs furent au mariage et la suite vous la connaissait …

    #42081
    g.p
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    En effet Thelog, j’ai mal recopié mon papier. Il faut dire que j’écris comme une patte de mouche. Mes profs s’arrachaient les cheveux et me mettaient souvent -2 pour écriture illisible. Ils étaient vaches à l’époque.

    #42082
    marysha62
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    j’avoue que j’avais la larme à l’oeil rien qu’en écrivant mon histoire;et je l’avais aussi pour l’histoire de gp :la femme entre la vie et la mort;merci thelog
    je vais faire rapidement et ds plus léger;mon p’tit bonhomme se réveille.
    il se prend pour qui ce colonel ;il l’a eu où sa titularisation ;ds un paquet de bonux ou quoi?il est tjs fourré ds son bureau;il passe ses journées derrière son ordi à jouer aux jeux vidéos ou à se mirer les orteils;il ns demande de faire plein de choses et lui ne se bouge même pas le cul,son gros cul-de plomb ;son background on sait d’où il vient:fils à papa va!planqué!pistonné!

    j’ai prévenu court,bref,tonique et efficace lol

    bonne journée

    #42083
    g.p
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    Barber-concocter-espingole-lai-immobilité-simple.

    Tu m’épies du matin au soir, allant même jusqu’à fouiller dans mon téléphone et composer les numéros que tu ne connais pas.
    Ta jalousie maladive commence à me barber . Aussi ai-je concocté rien que pour toi un menu au vitriol. Cette fois je suis bien décidé à te montrer de quel bois je me chauffe. Je veux tout simplement me débarrasser de toi.
    J’ai chargé ma vieille espingole d’un mélange de cailloux et de morceaux de verre. Tu vas pouvoir constater les effets de ce vieux fusil quand tu en recevras la décharge.
    Tu rêvais souvent d’immortalité, je vais t’en faire passer le goût. Je vais t’offrir un aller simple vers l’au-delà, mais je te jure que dans ma mémoire tu bénéficieras d’un souvenir éternel. Ton immobilité perpétuelle me sera bénéfique.
    Et comme je suis un peu poète, en guise de cadeau d’adieu, à l’instar de Marie de France, je te composerai un lai retraçant les meilleurs moments de notre vie à deux.
    Sans rancune, adieu ma chère femme! Je vivrai très bien sans toi!!!!

    PS: Ce n’est que pure fiction, ne me prenez pas pour ce que je ne suis pas. Bon dimanche.

    #42086
    thelog
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    Oui GP je comprends ton « PS » et je vois que tu as cette capacité d’acteur de composition qui se met entièrement dans son personnage. C’est un véritable don.
    Mary, c’est vrai que c’est courte et percutant. Limite une seule phrase mais l’important c’est de jeter sur l’écran un petit peu de soi.
    On a dit Liberté pleine et entière ; alors aucune critique et celui qui nous lit et qui veut nous rejoindre c’est pareil pour elle ou lui.

    Je vous souhaite donc un bon Dimanche
    Aujourd’hui c’est un ORLOF de Dinde (Mum, je vais me régaler)

    #42087
    g.p
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    Moi c’est barbecue en plein air pour récompenser les petites filles pour leur réussite scolaire. On va être 50!!!

    #42088
    marysha62
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    moi je « pluque » à midi;mon hom était de nuit il p’tit dèj au midi;et ce soir c’est moules frites chez ma soeur;j’en mange pas suis allergique;c’est bête car j’aime bien avec de la crème fraîche mélangé au jus;je tente de tps en tps;je pense que c’est aussi psychique,car qd mon papa allait à moules et que j’en mangeais,j’étais rarement malade.
    je vs laisse;j’ai rendu mon p’tit fils à ma fille et je vais aller marcher au bord de l’eau

    #42091
    thelog
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    Barber : Ennuyer qqn ou s’ennuyer / (argot) voler escroquer
    Concocter : cuisiner, élaborer ou composer avec soin
    Espingole : Gros fusil, court, dont le canon était évasé
    Lai : (adj.) Laïc, convers / Petit poème narratif, en vers octosyllabique
    Immobilité : État de ce qui est immobile.
    Simple : pas composé, pas compliqué, pas multiplie, modeste, refusant la faste, naturel, rang peu élevé

    Maurice, un historien de province est passionné par l’époque ancienne où les fusils étaient archaïques, du genre espingoles
    Le maire de la commune où il s’est rendu lui a concocter une très belle réception et après le repas ils s’en allèrent sur le site archéologique découvert il y a peu de temps. Les objets qui furent découverts se retrouvaient alors tous étalés sur cette grande table en chêne massif dans la tente dressée pour l’occasion. « Ils sont tous très simples cher ami » lui dit le maire en ayant l’air intéressé. Mais ce n’est pas l’avis de notre expert qui trouve dans cet épisode de vie passée un tas de renseignements qui en disent long sur les mœurs de l’époque. D’abord il y a ce lai sur bois qui a très bien passé les âges . Et puis tous les autres retrouvailles qui ont une manufacture plutôt élaborée. Cela montre le niveau de culture des « nantis » du moment.
    Le maire commence alors à le barber les oreilles en étalant ses maigres connaissances (on le sait la culture c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale) et il l’oblige alors à l’immobilité en lui interdisant de le suivre dans la pièce voisine. Là, enfin seul, il peut retrouver ce regard simple sur les choses d’antan et réfléchir en toute quiétude aux événements qui se sont produits depuis.
    Du coup il refait toute l’histoire de la région en y incluant tous les artefacts retrouvés.
    Son métier le passionne et en étant reconnu au niveau régionale et même nationale, il en retire une très grande satisfaction.
    Pour lui c’est un peu comme jouer au détective, mais là il n’y a pas de témoins à interroger.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 6 mois par thelog.
    #42103
    thelog
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    Salut, je vois que mon message de ce matin n’est pas passer ???

    Donc je proposais les mots d’aujourd’hui

    Akvavit
    Soixante-huitard
    Rhéostat
    Branque
    Plaisantin
    Moyenner

    #42104
    thelog
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    Akvavit : bière nordique
    Soixante-huitard : Adepte des revendications de mai 68
    Rhéostat : (terme technique) Résistance variable placée dans un circuit pour modifier et régler l’intensité du courant
    Branque : (origine) Client d’une prostituée qui se laisse berner. (adj. et n.) Idiot, fou.
    Plaisantin : Quelqu’un qui fait des blagues, qui n’est pas sérieux
    Moyenner : Procurer quelque chose par son entremise / Trouver une solution malgré certaines difficultés / Calculer une moyenne / négocier

    Ah que disiez vous en soixante-huit
    Sur les barricades jusque tard la nuit
    Qu’il faudrait être branque
    Pour vouloir suivre les banques

    Maintenant que vous êtes soixante-huitards
    Je vois que le train est entré en gare
    Les revendications sont oubliées
    La vie moderne a su les moyennées

    Où est passé le buveur d’akvavit ?
    Il l’a rangée au fond d’un meuble en KIT
    Que crie maintenant le plaisantin ?
    Il ne crie plus et pense fort au lendemain

    La politique a réussi à dompter
    Les esprits échaudés de ce mois de mai
    et comme un rhéostat bien réglé
    a su canaliser cette sociale intensité

    Conclusion : A-t-on besoin d’un autre mai 68 ? vu ce qu’il en est ressorti …
    Pourtant le malaise était là et les idées progressistes
    Qu’est-ce que vous en pensez ?

    #42107
    g.p
    Participant
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    Akvavit/soixante-huitard-rhéostat/branque/plaisantin/moyenner.

    Il fut une époque où il était interdit d’interdire et pas mal de jeunes branques reprenaient ce slogan dans les défilés plus ou moins bien organisés.
    Ces rassemblements donnaient lieu à des échauffourées avec les forces de l’ordre surtout le soir venu quand ils avaient abusé un peu trop de l’ akvavit . Puis le mouvement s’aggrava quand un plaisantin hurla dans un mégaphone: « sous les pavés la plage »!
    Les cortèges de plus en plus fournis devinrent alors violents car pour trouver la plage il fallait dépaver les rues et ces blocs de pierre se transformaient en projectiles que les manifestants balançaient allégrement sur les policiers qui souvent devaient se retirer sans répliquer pour ne pas envenimer la situation. Toutes ces manifestations généralisées à tout le pays menèrent à une chienlit indescriptible.
    Mais quel rhéostat aurait pu alors ralentir les chaudes équipées toujours plus nombreuses à réclamer une liberté débridée?
    Fallait-il laisser faire et attendre la lente décrue de cette colère ou alors envoyer les CRS en risquant d’envenimer la situation. Pouvait-on moyenner quelques arrangements avec les meneurs?
    Moi le vieux soixante-huitard que je suis, je me souviens avoir dit à mes parents qui m’interdisaient d’aller manifester avec les copains qu’il était interdit d’interdire. Je revois la main de mon père s’abattre sur ma joue gauche avec une grande violence. J’ai su que la désobéissance ne faisait pas partie de son vocabulaire et que si tous les pères de famille avaient été comme lui, on n’aurait jamais su qu’il y avait du sable sous les pavés.

    #42108
    marysha62
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    tu me barbes à la fin;je passe tte ma journée à te concocter des bons petits plats et tu critiques tt le tps;demain tu te feras un sandwich;tjs les mêmes disputes entre alex et marion pour un oui ou un non;la femme claqua la porte et entra ds sa chambre:ça faisait plusieurs mois qu’ils ne dormaient plus ensemble;elle se dirigea vers un tiroir et resta immobile un moment;elle l’ouvrit et en sortit un papier;qu’il était loin le tps où son mari lui écrivait des lais enflammés.c’était beaucoup plus simple avt;pas de souci de boulot,d’argent;c’est pas qu’ils en avaient beaucoup mais assez pour vivre correctement;c’est beaucoup plus difficile maintenant et son mari va peut-être se faire licencier;ils s’engueulent souvent mais elle sait qu’elle l’aime tjs;elle a peur;souvent il se plante dvt la vitrine où se trouve la vieille espingole de collection,cadeau de son grand père et en parfait état de marche;elle a peur qu’il fasse une connerie;elle regrette de ne pas l’avoir retirer de là avt;et en même tps elle appréhende sa réaction;elle ne sait pas quoi faire;et com à son habitude,elle capitulera.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 6 mois par marysha62.
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