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  • #60657
    thelog
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    Commentaires:
    Très beau poème GP sur la perception de la misère et des réactions opposées d’une nantie et d’un homme bon et compatissant.
    Savoir s’arrêter quelques instants et ne pas être rebuté par l’état de l’autre est ce à quoi tout homme devrait penser en voyant un nécessiteux (qu’il le soit par choix ou autre).
    Je tire mon chapeau à ceux qui font des maraudes pour trouver ceux qui en ont besoin et qui ne refuseraient pas un peu de chaleur (venat du coeur d’un humain pour un autre humain ; et aussi de la boisson chaude (thé, café ou chocolat) et si en plus on lui offre couverts et logis (sans compter la toilette) C’est à coup sûr de nouveau un homme qui apparait en revenant à table et qui sait peut-être il s’expliquera sur ses mésaventures.
    Et tout particulièrement en ce Week-End de Pâques où nous devrions penser au Sauveur qui, Lui, ne délaissait personne et même préférait les pauvres aux chefs de son époque qui avait tout en abondance mais absolument rien dans leurs coeurs (aussi secs et froids que des tombes blanchies)

    Mots du jour:
    Expier : Réparer, en subissant ou en s’imposant une souffrance (expier ses péchés dans la religion chrétienne) Payer pour une faute.
    Tressautement : LANGAGE SOUTENU Littéraire, action de tressauter, de sursaute
    Maladie : Altération de la santé. État d’un organe malade. Spécification d’une pathologie.
    Mondanité : Caractère de ce qui est mondain, de la haute société. Goût pour la fréquentation, les divertissements de la haute société.
    Tâtonner : Avancer en tâtonnant. AU SENS FIGURÉ Chercher en faisant de nombreux essais.
    Centre-ville : Quartier au centre d’une ville, où se situent la plupart des monuments et commerces de la ville.

    Histoire:
    Avec un léger tressautement, Victor réagissait au bruit sourd qui s’était produit dans ce bureau parisien du centre-ville qui n’était plus de première jeunesse depuis longtemps.
    Les murs craquaient ; le toit au dessus du plafond grinçait et les meubles allaient de leurs petits sons aigus.
    Mais tous ces bruits, il en avait l’habitude et les connaissait fort bien.
    Non, là c’était autre chose, un bruit qu’on aurait dit retenu.
    Il ne manquait plus que le bruit s’une respiration et Victor se tiendrait sur ses gardes.
    Il venait de sortir de maladie et se sentait un peu faiblard et surtout pas en forme pour défendre sa vie.
    Qu’allait-il pourvoir faire si une personne l’assaillait ?
    il chercha autour de lui une chose pouvant faire office d’arme improvisée.
    il essaya de tâtonner sous le bureau et toucha des sortes de poil !!!
    Il éclaira l’endroit et découvrit un rat, tapi là et grignotant tranquillement un morceau de pain qu’il avait laisser tomber lors de son dernier repas.
    Les bruits suspects provenaient de cet animal et il le laissa finir son repas avant de le chasser hors de la pièce.
    Comme il repensait à cet épisode troublant, il réfléchissait à sa condition qui avait vite dévalé les échelons de la haute société ; de ceux qui appartiennent à la mondanité.
    Avec quelques mots véridiques mais pas bien vus, il fut repoussé en y mettant les gants et sans délicatesse.
    Maintenant il lui fallait expier cette trahison (pour les autres et non pour lui)
    Chose qui est bien plus facile à dire qu’à faire. Car la rédemption et le pardon s’acquièrent avec beaucoup de patience et d’efforts.
    Prompt à juger et lent à pardonner : voilà leur devise.
    Victor s’était ainsi remis à faire de la littérature qui sied à ces Messieurs et Mesdames de la haute. En fait ça paye bien et de l’argent il en faut.
    Du coup, à côté de ça, il prit un pseudo pour laisser parler son coeur (Nom de Code :OLYMPIO) (si vous chercher sur le Net vous trouverais l’auteur en question)

    Mots de demain:
    Pétoire
    Coache
    Loader
    Fouisseur
    Pante
    Être

    #60658
    marysha62
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    à force de baisouiller tout ce qui bouge le fils du tenancier du bar de la grand place est tout courbaturé:pourtant il est jeune même pas 30 ans;faudrait qu’il fasse un effort pour neutraliser ses ardeurs;mais lui il profite:les filles lui tournent autour;il est plutôt beau gosse,bien musclé et a une belle situation;il gagne bien sa vie;
    il n’a pas hérité, tant mieux pour lui,des traits disgracieux de son père;c’est vrai qu’il n’est pas gâté par la nature le papa;un visage simiesque faisant penser à un hominien;même son allure fait penser à un primate:un peu courbé;sans compter les poils qui sortent de son tee-shirt qui font penser à la laine des moutons de shetland;c’est vrai qu’il a des défauts physiques,mais il est tellement gentil, serviable, aimable,souriant,drôle,courageux et j’en passe,on ne peut que l’aimer;c’est pas le cas du fils;agréable à regarder peut-être,mais pas agréable à côtoyer.

    #60661
    marysha62
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    c’est pas son jour de chance aujourd’hui;le ciel commençait à s’assombrir:la pluie n’est pas loin;il introduit rapidement sa clé ds la serrure voulant rentrer avant de se faire mouiller;oui mais voilà ça coince il force et casse le panneton;le double est à l’intérieur;comment va-t-il faire pour rentrer?son chat vint se frotter sur ses jambes réclamant à manger et
    passa par la chatière;l’homme regarda le trou et haussa les épaules;il s’accroupit et rampa ds le passage déchirant au passage sa chemise;il alla écouter son répondeur;son patron réclamait pour le lendemain une ébauche de son futur roman et… ;il n’entendit pas la fin; voilà coupures de courant;de gros éclairs;son ordi ne fonctionne plus non plus;il réussit à dégoter dans un des tiroirs une grosse bougie avant de se rendre compte qu’il avait perdu son briquet;bon pas grave il y a surement des allumettes ds le tiroir de la table du salon; il sortit les stylos, les crayons gomme et autres matériels de bureau;retira ses carnets de papiers:papier blanc, papier calque,buvard,carbone… ah enfin les voilà;il alluma la cheminée pour se réchauffer, se changea et se mit au travail;c’est l’histoire d’une jeune madrilène amoureuse qui se convertit à l’islam …ah zut plus d’encre dans le stylo; le vent à souffler la bougie et la cheminée s’est éteinte.vraiment pas de chance il fait trop noir pour écrire la suite.

    #60662
    Queenie
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    C’est vraiment ce qu’on appelle ne ps avoir de veine

    #60674
    thelog
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    Chic, nous avons retrouvé notre Mary et en pleine forme avec 2 nouvelles qui nous font réfléchir sur la vie et ses contradictions. Entre la beauté de l’âme et un physique peu gratifiant d’un côté et tout l’inverse de l’autre. Qui sont ceux qui sont attirés par l’un ou l’autre ?
    Et l’histoire de Monsieur PasdeChance on pourrait dire ça de cet écrivain envers qui les choses et les éléments sont agressifs et lui en veulent personnellement.
    C’est vrai que des fois on se demande s’ils ne se sont pas ligués contre nous.

    Bonne nuit à tous

    #60675
    marysha62
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    -tu véra fred suis sûre que sammy va appeler son chien scooby-doo dit daphné qui était en train de faire bronzette sur la pelouse du crufc en plein soleil;
    -allez viens maintenant on va se faire gauler;on n’a pas le droit d’être là;
    -il n’y a personne aujourd’hui; va laisse moi je reste là; va acheter des roses pour nan(c’est com ça qu’elle appelle sa grand-mère)c’est son anniv aujourd’hui;
    -arrête de jouer ta commandante à 4 sous moi je m’en vais; t’iras toi même chercher tes fleurs;
    elle n’avait même pas vu que fred était parti pour de bon et continuait à lui parler; elle s’endormait qd une forme fantasmagorique apparut devant elle et l’embrassa doucement;il tenait ds ses mains des rosales de toutes les couleurs;elles étaient belles ses fleurs; elle se réveilla à demi elle était trop bien là;qd soudain elle se dit mais qu’est-ce que je raconte;il a qd même pas fait ça il m’a pas embrassé pendant que je dormais; fred tu vas me le payer;
    elle se redressa et se retrouva nez à nez avec un homme qu’elle ne connaissait pas:il se présenta comme l’entraineur du racingunion football club de calais;et non je ne vous ai pas embrassé;elle attrapa vite son paréo pour se couvrir et se rendit compte qu’elle était entourée des joueurs qui après s’être retenus pour ne pas la réveiller pouffèrent de rire pliés en 4;certains avaient pris des photos;c’est sûre qu’elle allait faire la une des journaux et des réseaux sociaux;après le rêve,le cauchemar;elle ramassa vite ses affaires et s’enfuit sans se retourner;elle leur cria:-si vous diffusez les photos je porte plainte; elle entendait encore leurs rires longtemps après;
    -fred tu vas me payer ça.
    il n’y est pour rien lui;mais faut bien trouver un coupable.
    encore une écrite très tôt pour ne pas être trop en retard lol
    à plus boulot

    #60689
    g.p
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    Pétoire/coache/loader/fouisseur/pante/être.

    Quand j’étais jeune, dans le quartier, je faisais le frimeur sur ma pétoire . Je crânais devant les filles et me moquais des garçons de mon âge qui n’avaient que leurs jambes pour se déplacer. Je les voyais courir tous les jours en short et tee-shirt. Combien de fois me suis-je demandé après quoi ils couraient. Souvent en les frôlant je leur faisais des bras d’honneur.
    Certains me haïssaient pour mon insolence, mais d’autres beaucoup mooins pantes que moi continuaient à courir sans répliquer. Je reconnais maintenant que j’aurais dû être plus intelligent car je viens de monter sur la balance et j’ai dû rentrer le ventre pour voir la flêche me révélant un poids proche du quintal. L’obésité commence à me gagner. Eh oui, vivre sans marcher, sans courir, ne se déplacer qu’assis sur un engin à moteur , cela n’aide pas beaucoup à résorber les excés de table!
    Je me suis donc rapproché d’une coache sportive dans une salle de fitness et là quelle ne fut pas ma surprise de revoir ceux que je moquais dans ma jeunesse. La seule différence c’est qu’eux étaient là pour s’entretenir tandis que moi j’y étais pour faire fondre une charge pondérale devenue préoccupante. Ils étaient toujours aussi souples et avaient une ligne remarquable sans excés de graisse. Certains m’ont reconnu et tout en courant sur leur tapis m’accueillirent avec un joli bras d’honneur qui me renvoya vingt ans en arrière. Tel le lombric fouisseur , je serais bien rentré sous terre tellement j’avais honte de ma silhouette.
    Les gestes qu’ils m’adressaient
    Offensaient mon amour-propre.
    Avec beaucoup de volonté
    De courage et d’abnégation
    Enfin je deviendrai comme eux
    Resplendissant de santé!!

    #60694
    thelog
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    Commentaires:
    Les réseaux sociaux et leurs photos ou vidéos bizarres, ce n’est pas ça que je regarde car je n’y vais presque jamais et que dans des cas très particuliers. Je ne suis pas un fada de ces trucs là. Et, en fait, ça peut te déglinguer une personne en moins de deux ce bidule. Des vues par million et une pression énorme pour des Ados déboussolés. Oh, c’est si dangereux que ça va jusqu’au suicide. Il devrait y avoir une réglementation bien strict de leurs emplois. je me demande si c’est surveillé par l’autorité ???
    Bon passons à notre GP favori : les excès de la jeunesse s’accumulent et le manque d’exercice n’arrange rien. Quand on a 14/15 ans on crâne dur devant les autres et quand on a 30 ans c’est alors eux qui crânent devant notre embonpoint. Et j’ai bien aimé ton acrostiche de la fin.

    Mots du jour:
    Pétoire : Jouet utilisé autrefois pour lancer des projectiles. FAMILIÈREMENT Vieux fusil. FAMILIÈREMENT Cyclomoteur très bruyant.
    Coache : SPORTS Entraîneur d’équipe. Véhicule automobile fermé à deux portes. Personne effectuant du « coaching », accompagnant des équipes ou des individus pour les aider dans leur vie professionnelle.
    Loader : Chargeuse ou chargeur, engin de travaux publics, servant à charger des déblais et des matériaux. VERBE Charger, télécharger.
    Fouisseur : Qui fouit, qui gratte, creuse, le sol pour un animal. Animal qui fouit.
    Pante : Toile de crin dont on se sert dans les brasseries.
    Être : Exister, avoir une réalité. Appartenir (ce couteau est à moi) Se trouver dans un lieu (je suis à Rome depuis une semaine)
    Le fait d’être, l’existence.
    PHILOSOPHIE L’être en tant qu’il est. Ce qui possède l’existence (les êtres vivants)

    Histoire:
    Il venait d’ouvrir le coffre qu’il avait découvert dans le grenier de son grand-père. Dedans, il y avait un sac en pante qui sentait un peu le moisi.
    Il releva les bouts avec précaution et la pétoire apparut. C’était un très vieux modèle de fusil de chasse datant d’on ne sait plus. Mais il était intact et il y avait à côté de quoi le charger.
    Mais attention, le coache avait toujours dit de bien réfléchir avant de faire n’importe quoi.
    Olivier prit le fusil et alla le présenter à un armurier. Celui-ci constata le bon état de l’engin et se mit à loader le canon avec une charge de poudre et une bourre pas trop serrée.
    Il fit feu et tout se passa bien malgré un bruit d’enfer.
    Olivier fut content du résultat et apporta celui-ci chez un antiquaire pour le faire estimer.
    Tout son être espérait un bon prix pour cette antiquité et il ne fut pas déçu.
    Avec l’argent il se paya un appareil pour travailler la terre genre fouisseur car il voulait exploiter le terrain autour de la ferme de son grand-père.

    Mots de demain:
    Acharné
    Fretter
    Sulfureux
    Antiémétique
    Mincir
    Multiplexe

    #60705
    g.p
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    Acharné/fretter/sulfureux/antiémétique/mincir/multiplexe.

    Quand le bébé fut balancé par la fenêtre par le sulfureux personnage qui était censé représenter le père, tout le monde retint son souffle.
    Personne en bas pour le ratrapper ou amortir la chute. Le petit bout de chou s’écrasa sur le trottoir sans un cri et sans pleurs. Il n’avait plus forme humaine.
    Puis le sinistre personnage s’est acharné sur sa compagne, essayant de la défenestrer. Quand la police arriva, ce fut pour constater que la mère venait elle aussi de s’éclater sur le pavé tandis qu’à la fenêtre du huitième étage l’homme en pleine crise de démence hurlait en gesticulant. A la vue des policiers il monta sur le toit de l’immeuble en se tenant à une cheminée qui avait été frettée pour éviter qu’elle ne se brise en deux. Il jeta dans le vide sa chemise qui flotta légèrement dans le vent avant de retomber. Un policier téméraire lancé à ses trousses glissa sur le toit pentu et alla rejoindre les deux cadavres du rez-de-chaussée. Au pied de l’immeuble gisaient maintenant trois paquets de chair sanguinolante, disloqués et défigurés, un spectacle peu râgoutant qui valait bien quelques antiémétiques pour les âmes sensibles.
    Le héros sur le toit se sortait de toutes les situations et la boucherie continua ainsi jusqu’à la fin du film.
    A la sortie du multiplexe , chacun y allait de son commentaire, reprochant au cinéaste d’avoir fait mincir les scènes de cascade pour privilégier les scènes de violence en série.
    Ce fut quand même une belle soirée sanglante!!

    #60712
    Queenie
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    Ca ne devrait pas mais ça m’amuse….

    #60713
    thelog
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    Commentaires:
    Plutôt gore ton histoire ! GP ! Même si la fin adoucit l’extrême violence de cette scène imaginaire. Et, en fait, est-elle si imaginaire que ça ?
    On en voit dans les journaux des cas où c’est une tuerie qui s’est faite dans un petit quartier ou une maison envers les enfants et les conjointes ou conjoints. Parfois on voit ça sur des animaux (entre nous ça me mets hors de moi et si je devais les juger : ce serait la mort mais ave lenteur et beaucoup de souffrances ; j’ai horreur qu’on fasse du mal à moins fort que soi)
    Rien que d’en parler ça m’énerve déjà. Et pour m’amuser il me faut autre chose un truc plus burlesque, pas méchant. (désolé Quee)

    Mots du jour:
    Acharné : Qui fait preuve d’acharnement, de volonté. Celui qui fait preuve d’acharnement, de volonté.
    Fretter : TECHNOLOGIE Garnir d’une frette, lien de fer dont on garnit les moyeux des roues, un canon.
    Sulfureux : CHIMIE De la nature du soufre, qui contient du soufre. AU SENS FIGURÉ Qui évoque l’enfer, l’hérésie, le démon qui sent le soufre.
    Antiémétique : PHARMACOLOGIE Propre à combattre les vomissements. / PHARMACOLOGIE Médicament permettant de combattre les vomissements.
    Mincir : Devenir plus mince. Donner les apparences de la minceur (cette couleur vous mincit)
    Multiplexe : CINÉMA Ensemble de salles de cinéma, généralement implanté à la périphérie des villes.

    Histoire:
    Sylvain aimait par dessus tout le cinéma et en tant qu’acharné, il ne voulait pas rater une seule séance. Dans ce multiplexe il avait le choix mais ne pouvait pas tout voir d’abord pour une question de finance et ensuite de temps.
    Le petit gars aimait encore plus les films d’action et un peu sulfureux (genre policier ou fantastique et même science fiction avec des bagarres spectaculaires)
    Parfois la vue de trop de sang lui donnait des nausées et avec un petit médoc antiémétique ça passait en un rien de temps.
    A force de passer son temps devant le grand écran il se nourrissait plutôt mal et commençait à mincir de façon visible. Cela inquiétait sa mère qui le voyait dépérir.
    Elle avait essayé de lui faire changer de passion mais en vain. Espérons que Sylvain saura s’arrêter à temps et qu’il ne deviendra pas comme ce fil de fer servant à fretter un canon.

    Mots de demain:
    Emménagement
    Câlin
    Fréquenté
    Clapot
    Alarme
    Défoncer

    #60714
    Queenie
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    C’est parce que j’ai lu ce texte en ne le prenant pas au sérieux Thelog que ça m’a amusée.
    C’est sûr que dans un film ou dans la réalité ça m’aurait beaucoup plus perturbée….

    #60721
    marysha62
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    philippe-jean merdeléjan a toujours fait partie de la Haute;il possède une galerie d’art en plein centre ville et participe à toutes les mondanités;il est très riche et a beaucoup « d’amis »;il a touché à tout sexes,alcools et drogues…et maintenant il en paie le prix fort:il est malade;et depuis qu’il est malade plus personne ne le cotoie;il ne reste que sa meilleure et vraie amie lisa vata;la seule qui l’a connu tout jeune et qui sait que sous ses airs blasés il pouvait avoir un coeur en or;il a décidé d’écrire un testament lui léguant son chateau et sa galerie d’art;il se tatonne, cherche à qui il pourrait léguer ses biens;il décide d’organiser une grande fête pour réunir toute la famille et les amis;il leur fait croire qu’il allait mieux;bizarrement les « vautours » sont de retour;une grande fête au chateau ça le fait;ils furent tous aux petits soins pour p.j.;il pensa quels faux culs.il leur annonça en fin de soirée qu’il n’en avait plus pour très longtemps et qu’il allait écrire bientôt son testament;il remercia tout le monde pour leur présence aujourd’hui;tous lui témoignèrent de la compassion;lisa avait les larmes aux yeux;une semaine après un dernier tressautement il décéda;on convoqua lisa à la lecture du testament;elle fut étonnée qu’il n’y ait qu’elle;comme prévu le chateau et la galerie d’art sont pour elle plus une grosse somme d’argent tous les mois à condition qu’elle s’en occupe jusqu’au bout de sa vie;
    et pour le reste il le distribue à diverses associations; comme ci il avait voulu expier ses fautes:à la ligue anti alcooliques,stop à la drogue et aussi pour soigner diverses maladies graves;il fit envoyé à tous ses soi-disant amis un courrier;il avait imaginé leur tête avant de mourir qd ils découvriront le message:pour toi avec une feuille vide.

    #60727
    g.p
    Participant
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    Emménagement/câlin/fréquenté/clapot/alarme/défoncer.

    Te souviens-tu ma bien-aimée
    Quand nous nous sommes fréquentés
    Nous étions bien jeunes et pressés
    De voir nos parents s’éloigner.
    Un taudis avons acheté
    Tout délabré, toit défoncé .
    Il nous fallait tout réparer
    Du grenier au rez-de-chaussée.
    Quand les tuiles furent changées
    Notre budget fort limité
    Etait déjà bien entamé.
    Il nous restait la volonté.
    L’ emménagement souhaité
    Etait très souvent différé
    Car chaque jour on découvrait
    D’autres urgences à réparer.
    Le clapot de l’eau dans l’évier
    Nous signalait un robinet
    Avec un joint à remplacer
    Et une fuite à éviter.
    Puis ce fut la porte d’entrée
    Qu’il nous a fallu raboter
    Car à force d’humidité
    Le bois gonflé la retenait.
    Nous pensions avoir terminé
    Quand ce furent les escaliers
    A démolir et remplacer
    Avant de les voir s’effondrer.
    Les câlins étaient limités
    Parfois on se décourageait
    Mais vaillamment on repartait
    Avec l’envie de terminer.
    Le taudis qu’on a acheté
    Est maintenant bien équipé
    D’une alarme sophistiquée
    Pour préserver l’intimité.
    Quand on voit notre nid douillet
    Où le bonheur s’est installé
    On se dit sans aucun regret
    Continuons à nous aimer.

    #60731
    Queenie
    Participant
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    Mary, t’exagere !!! Jean etc….
    Très belle histoire encore GP. Je suis sûre qu’elle plaira plus à Thelog que la précédente

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