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- Ce sujet contient 5,147 réponses, 16 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par thelog, le il y a 1 mois et 1 semaine.
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24 décembre 2021 à 11 h 17 min #37371
Histoire
Il pleuvait des cordes, et il n’y avait plus personne dans les rues. La ville était quasiment déserte et les quelques passants s’abritaient comme ils le pouvaient dans les porches, dans les magasins ou sous un TUNNEL. Les TROTTOIRS étaient inondés et l’eau s’engouffrait dans les égouts en nettoyant les caniveaux au passage. « Si ça continue on va battre un RECORD de précipitations » avait dit un usager de la ligne 47 qui desservait une partie de la banlieue. Faut dire que de l’eau, il en tombait et en tombait à n’en pas finir. « Si c’était ça le déluge, je comprends que 40 jours ont suffit à tout inonder », ajouta notre commentateur météo. Et il se produisit alors un éclair aveuglant et un coup de tonnerre à faire vibrer l’air environnant et tressaillir les observateurs. Puis un second éclair suivi de son tonnerre presque simultanément (ça voulait dire que la foudre était tombée à moins d’1km, si ce n’est pas 500 m : puisque selon la formule de calcul pour l’orage le son met 3s pour parcourir 1km alors que la lumière est instantanée ce qui veut dire que le nombre de kms qui nous séparent de l’impacte est égal au nombre de 3s entre l’éclair et le tonnerre ; je finis là mon aparté)
Tout ça pour dire que l’orage était encore bien au dessus de la ville et la faisait vibrer de sa colère tout en la noyant sous des trombes d’eau. Mais il se déplaçait lentement vers le rivage poussé par un petit vent d’Est. Et une demi-heure après ce moment diluvien, le soleil et le ciel clair réapparurent réjouissants les promeneurs. La ville avait pris sa douche.- Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 1 mois par thelog.
24 décembre 2021 à 15 h 28 min #37390Record-trottoir-tunnel
Elle venait d’avoir seize ans quand Lucie fit connaissance d’un jeune homme de trois ans son aîné. Le courant passait bien entre eux et ils se voyaient fréquemment dans le square tout proche. Mais le beau jeune homme qui la faisait rêver la quitta un jour pour rejoindre ses copains à Paris. Ils gardèrent contact malgré tout via les réseaux sociaux.
Peu après le beau garçon l’incita à venir chez lui. Comme elle en était tombée amoureuse, elle n’hésita pas longtemps. Elle rassembla son peu d’économies et prit le train pour la capitale où pensait-elle la vie serait bien plus agréable avec celui qui la rendrait heureuse, elle qui avait toujours été ballottée de foyer en famille d’accueil et qui en fait ne connaissait rien de la vie et de ses dangers.
Il l’attendait sur le quai de la gare et après quelques embrassades elle le suivit à son appartement. Le piège venait de se refermer.
Elle fut présentée aux copains et offerte au plus âgé qui la viola sous l’oeil consentant de celui qu’elle croyait son chéri.
Comment résister quand on est faible et naïve et surtout sans argent? Sans autre forme de procès on la déposait dans une rue animée où elle devait aller et venir sur le TROTTOIR afin d’aguicher quelques hommes avides de sexe.
Un de la bande se chargeait de compter les clients et de récolter l’argent qu’elle n’avait pas les moyens de dissimuler. Le soir la recette était comptée et distribuée entre les copains en prenant bien soin de l’oublier dans le partage. Elle restait ainsi sous leur entière dépendance. Le lendemain le même scénario se déroulait avec un nouveau RECORD à battre, le nombre de passes n’étant jamais suffisant.
Un jour qu’elle s’était assise sur un banc pour se reposer un peu et réfléchir à sa situation, une dame prostituée elle-même depuis longtemps, réussit à la faire parler et voyant toute sa détresse, décida de l’aider à se sortir de cet enfer. Elle lui offrit un billet de train pour son retour chez elle en lui faisant promettre de se rendre à l’adresse d’une association qui venait en aide aux jeunes filles dans sa situation, ce qu’elle accepta immédiatement. Elles s’échangèrent leurs coordonnées et se quittèrent toutes deux pleines d’espoir.
Lucie arriva sans encombre dans ce nouveau foyer où elle fut accueillie et choyée.
Après avoir repris goût à la vie, elle trouva du travail et fut très fière de pouvoir rembourser à sa bienfaitrice le prix du billet de train. Elle avait enfin trouvé la sortie du TUNNEL.24 décembre 2021 à 15 h 33 min #37391belle fin pour 1 fois
24 décembre 2021 à 15 h 37 min #37394C’est Noël!!!!
24 décembre 2021 à 20 h 53 min #37404je vous propose les prochains mots :
Relief
Lundi
Petit
25 décembre 2021 à 7 h 50 min #37406Relief-lundi-petit.
Il est six heures en ce matin de Noël quand il se lève.
Sur la table, les RELIEFS du repas de la veille sont parcimonieux. Quelques miettes de pain qu’il débarrassera en les donnant aux oiseaux. Il n’a mangé qu’un sandwich avec une tranche de jambon comme il le fait toujours quand c’est jour de fête. Les autres jours c’est pain-beurre uniquement. Sa vie n’est pas facile, mais il ne demande rien à personne, sa fierté en prendrait un coup.
Le PETIT chien à son « pépé » balance la queue et saute de joie comme à tous les levers de son maître qui d’un réflexe machinal le caresse doucement. Il n’a plus que lui à qui parler et la vie s’écoule ainsi triste et morne du LUNDI au dimanche. Il ignore les jours de fête et s’en est accommodé. Depuis que sa femme est partie sans un regard sur le passé, il s’est ainsi habitué à cette vie.
Il a eu beaucoup plus de peine pour son petit chien qui au début la cherchait partout, reniflant le moindre espace et la moindre trace qu’elle aurait pu laisser dans l’espoir de la retrouver et de jouer un peu avec elle comme au temps des jours heureux.
La vie est ainsi faite: certains se rencontrent, d’autres se quittent et toujours font le malheur de ceux qui n’y peuvent rien.25 décembre 2021 à 10 h 48 min #37410Un cadeau dans la neige allait être recouvert de poudreuse par le vent glacial. On ne voyait plus que le ruban doré qui flottait en suivant les mouvements de l’air. Plus loin, un autre spectacle s’était figé dans ce début de soirée. Une voiture, toutes portières ouvertes, était arrêtée sur le bord de cette route de montagne. La clarté faiblissait, les sons de la ville, plus en bas, s’estompaient et un calme et un silence posaient là leur chape. Ce fut ce que découvrit un automobiliste qui remontait dans son village haut perché juste après le premier lacet. Il rechercha des signes de vie, mais il n’y avait personne. Le RELIEF n’était pas encore très accidenté et n’offrait aucune difficulté, ni aucun risque. Pourquoi alors cette voiture était-elle là ? et ce cadeau ?
Nous étions Dimanche et le jeune homme se dit que dès LUNDI, soit le lendemain, il approfondirait les recherches.
Après une nuit plutôt agitée, à cause des derniers incidents rencontrés sur la route, le jeune homme se réveilla et prit un PETIT déjeuner vite fait et il s’habilla chaudement et alla jusqu’à l’endroit concerné.
Là, une surprise l’attendait. Une petite famille se tenait maintenant auprès de la voiture et le monsieur tentait de faire démarrer le véhicule. Il s’inquiéta de leur situation et proposa à la dame et à la petite fille d’attendre au chaud dans sa voiture le temps de régler le problème mécanique ou autre. Celles-ci acceptèrent et le monsieur fut très content qu’une personne vienne l’aider.
Avec les premières constatations, les 2 « mécanos » s’orientèrent vers un problème de batterie assez fréquent avec l’hiver.
Comme c’était Lundi le garagiste du coin était ouvert et une batterie neuve fut installée très rapidement. Et le véhicule démarra enfin. Ainsi la petite famille put repartir vers des horizons plus cléments et plus chauds. Mais dans leur hâte de partir ils oublièrent le cadeau dans la neige et le jeune homme s’en étant souvenu leur fit des signes et des appels de phares pour les alerter avant qu’ils ne soient trop loin. Ouf, le cadeau reprit sa place à côté de la petite fille et les prochaines fêtes verront un enfant heureux de découvrir un jouet sous son sapin.25 décembre 2021 à 17 h 18 min #37417Les 3 mots de demain sont :
Brique
Ivoire
Chirurgien
25 décembre 2021 à 21 h 24 min #37420juste bonne nuit plus de courage
26 décembre 2021 à 7 h 43 min #37421comme tous les LUNDI(s),quart de 6/2,Jules se lève au PETIT matin pour se rendre au boulot;il travaille chez Noyon;vous connaissez? c’est l’une des usines de dentelles à calais;premier fabriquant mondial de Dentelle de Calais;on parle souvent des tullistes mais de nombreux autres « métiers » sont associés à la dentelle:en commençant par la création:les esquisseurs, dessinateurs,pointeurs et perceurs de cartons;en 2è la préparation:les wappeurs-ourdisseurs,les passeurs de chaînes;c’est là que travaille notre ami jules;il prépare les fils le plus souvent à la main,les dispose sur les machines à tisser;il contrôle la régularité de l’enroulement,noue,dénoue,rattache,règle la tension et la vitesse de la machine; s’occupe aussi de l’entretien du matériel,des machines,des locaux..et doit rendre compte du suivi de fabrications! les incidents,les quantités…;les wheeleurs,les presseurs,les remonteurs;en 3:les tullistes,les metteurs en oeuvre,les mécaniciens, les rachellistes;en 4:à la finition on y trouve principalement des femmes:visiteuses, racommodeuses, clippeurs(clippeuses?),écailleuses et on termine par les plieuses;les uns sans les autres ne pourraient pas fournir cette si jolie dentelle,tantôt unie blanche avec ou sans motif en RELIEF5(notamment pour les robes de mariés),ou tantôt colorée;très utiles à la fabrication des sous-vêtements,des vêtements,des rideaux, nappes et autres;mais malheureusement pratiquement toute les usines de dentelles ont disparu;malgré la réputation de calais-caudry,on ne sait pas si celles ci survivront;seul l’avenir nous le dira;pour l’instant jules a encore un boulot même s’il n’est pas bien payé à rester pratiquement 8h par jour debout et s’âbimant les yeux,tellement c’est minutieux;et même faisant du rab pour pouvoir s’assurer une meilleure retraite pour lui et sa famille.
26 décembre 2021 à 9 h 33 min #37422La journée était une journée comme les autres. Robert, le CHIRURGIEN de la clinique « VIE ET SANTE » se préparait à effectuer une lourde opération qui demanderait 4 heures de bloc opératoire. Tout était prêt pour l’intervention. Le patient, devenu à force un de ses amis, avait une totale confiance en lui et connaissait la bonne réputation de Robert.
Tout, absolument tout était là pour la réussite de cette ablation de cette masse dans le cortex cérébrale. Robert était bien le Neuro-chirurgien qui pouvait enlever cette masse en faisant le moins de dégât possible.
L’heure avait sonné et tout le personnel attendait l’entrée de Robert dans le bloc. Le patient était endormi, l’anesthésiste veillait à ses constantes vitales. On attendait Robert. Mais que faisait-il ? Pourquoi n’entrait-il pas ?
L’infirmière en chef alla dans la salle des préparations et le trouva assis sur le banc tout harnaché de la tenue de chirurgien et il restait là absent ou perdu dans ses pensées. Elle osa une question : « Il y a quelque chose qui cloche ? Docteur ». Et ce fut là qu’il répondit : « Oui, je ne trouve plus mon scalpel fétiche, celui avec le manche en IVOIRE. Sans lui, il m’est impossible d’opérer, il me porte chance depuis que j’ai commençais ». L’infirmière réagit aussitôt et rechercha le scalpel précieux et en fouillant dans les vêtements du praticien, elle le trouva enfin et l’apporta désinfecté au chirurgien qui lui fit le plus beau des sourires et entra enfin dans la salle d’opération.
L’opération fut un succès, son ami se portait au mieux. Pas de séquelle et bonne nouvelle la tumeur était bénigne.
Lorsque Robert rencontra son patient quelques jours plus tard il lui dit en rigolant : « Tu sais, tu me dois une BRIQUE pour l’intervention mais puisque c’est toi, je ne te demanderais qu’une brique de lego pour ma collection. J’en demande une à chacun de mes patients et ça commence à faire pas mal je pourrais bientôt faire une petite maison avec. »
Ils rigolèrent et Robert ne parla pas de l’incident du scalpel qui avait failli tout gâcher.26 décembre 2021 à 11 h 36 min #37429Brique-ivoire-chirurgien.
Dans la salle d’attente du CHIRURGIEN dentiste, quelques patients attendent leur tour. Certains sont calmes et occupés à lire des revues plus ou moins d’actualité mises à leur disposition, d’autres semblent un peu plus anxieux et stressés et j’en fais partie.
Il faut dire que la cloison est tellement fine qu’on entend ce qui se passe dans le cabinet. Le bruit métallique des outils qui s’entrechoquent lorsque le dentiste cherche la pince adéquate, le sifflement strident de la roulette ou le bruit sourd de la fraise, rien n’est fait pour rassurer le malade qui tremble de tout son corps rien qu’à l’idée de s’asseoir dans le fauteuil.
Quand vient mon tour, c’est presque à reculons que je me présente sur le siège de torture. Les mains agrippées aux deux bras du fauteuil, j’ouvre la bouche devant le masque chirurgical qui me fait face.
J’ai toujours eu la phobie de ce genre de praticien qui découvre ma dentition bien imparfaite et abimée par les kilos de bonbons avalés dans ma jeunesse et par le tabac qui a contribué à changer la couleur de l’émail. Ma bouche ressemble à un mur de BRIQUES mal alignées.
« Eh bien, y’a du boulot » s’exclame-t-il, ce dont je ne doute pas une seule seconde car à force de remettre à plus tard le mal s’est aggravé.
« Après avoir détruit l’émail, la carie s’est attaquée à l’IVOIRE et c’est le début de la douleur » décrète-t-il.
Plusieurs rendez-vous sont à prévoir car il n’y a pas qu’une seule dent à traiter.
« L’écartement entre les dents est si important qu’on ne peut appeler cela les dents du bonheur, on pourrait y passer un carnet de tickets de métro » ajoute-t-il. Il ne m’a pas encore touché que je sue déjà à grosses gouttes.
Voyant cela il ajouta; « Je vais vous prescrire un décontractant et vous reviendrez la semaine prochaine. »
Ouf, je ne m’en suis pas trop mal sorti pour cette fois.26 décembre 2021 à 14 h 38 min #37433c’est le tort qu’on a:pas se faire soigner les dents en tps et en heure;certains soins sont tellement chers et non remboursés qu’on hésite à y aller;c’est mon cas;j’attends tjs d’avoir mal aux dents pour aller chez mon dentiste,sauf que la dernière fois,c’est arrivé pendant mes vacances à 800 kms de chez moi;tt a commencé par une horrible douleur en pleine nuit à une dent qui ne m’avait jamais posé problème jusque là;je me suis soignée tant bien que mal avec du paracétamol;mais çà n’a pas calmé le mal;le surlendemain je vais à la pharmacie car j’avais une petite »chique »(abcès) et je demande qque chose de + fort;elle me donne alors des anti inflammatoires et m’a dit que la seule chose à faire si çà n’allait pas mieux c’est d’aller chez le dentiste;le soir même je ressemblais à coluche ds banzaï;mon visage,ma gorge étaient tt gonflés et j’avais tjs aussi mal;donc le lendemain je retourne à la pharmacie pour qu’elle me donne l’adresse d’un dentiste;il y en avait 1 au coin de sa rue et c’était le seul à être ouvert pendant cette période ou alors fallait faire une 40taine de kms pour joindre une grande ville;donc je m’y rends de suite;à l’accueil on me demande pourquoi je suis là;je lui explique que je suis en vacances et je lui montre ma tête et lui explique mon cas;houla dit-elle en effet;elle me demande si j’avais pris des médicaments; »oui des anti inflammatoires »;elle répond « surtout pas »;il faut jamais en prendre quand on a un abcès;je ne pouvais pas deviner suis pas médecin;je reste un moment en salle d’attente et la CHIRURGIEN(ne) dentiste vient me chercher; »oulala vs devez avoir mal;pour l’instant je vais vs donner des antibiotiques,de la codéïne pour la douleur et vs ferez des bains de bouches;mais surtout si çà empire vous appelez les urgences ou vous m’appelez et je les appellerai;si le gonflement de la gorge s’intensifie vous pouvez vs étouffer.je vais vs donner un rendez-vs pour la fin de semaine;vous serez encore là? »oui »;oh et puis non vs reviendrez demain;les médicaments ont fait de l’effet,la douleur a diminué;l’abcès pas encore; et le lendemain j’y suis retournée;après la radio et la constatation que ma dent était morte et après avoir percer en partie l’abcès;elle me l’a enlevé;j’ai rien payé;tout était remboursé par la sécu;la dentiste n’arrêtait pas de dire qu’elle était désolée pour moi car c’était mes vacances et que je souffrais et les passer ds un cabinet dentaire;elle était vraiment sympa et j’aurais bien aimer avoir la même à calais;avt que je m’en aille, elle a ajouté surtout si çà ne va pas mieux et que je gonfle encore, faut pas hésiter à l’appeler;pas complètement dégonflée,je me cachais derrière mon masque qd je me déplaçais;2 jours après je n’avais quasiment + rien et j’ai pu recommencer à manger;j’ai du reprendre rendez-vous chez mon dentiste;pas de place avt 1 mois 1/2;j’ai du faire un curetage(détartrage jusqu’aux racines;)de 4 séances et en + avec l’abcès toutes mes dents avaient bouger;d’autres rendez vous en perspective;mais malheureusement on pourra pas faire gd chose;je m’y suis pris trop tard.
ne cherchez pas les autres mots;ils n’y sont pas;c’est mon histoire vraie de l’été dernier;si tu n’IVOIRE c’est qu’il n’y a rien à IVOIRE; donc tu ne trouvera le mot BRIQUE (qu’on a aussi déjà eu)non plus.- Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années par marysha62.
26 décembre 2021 à 20 h 21 min #37437les mots de demain sont :
Biplan
Crabe
Ciel
27 décembre 2021 à 7 h 44 min #37440Quelle galère tes vacances Mary, je vois que la souffrance est toujours au rendez-vous. Oui les dents c’est toujours douloureux voire très très douloureux. Heureuse est la personne qui n’a pas besoin du dentiste (j’en connais) une dentition que je dirai en « acier trempé » rien ne l’attaque et une disposition parfaite. Quant à moi, j’ai quelques pivots et couronnes et aussi des trous ; je n’ai plus trente dedans et 2 dehors comme disait Pierre Dac. Et il est rai aussi, comme tu le dis, que tous les dentistes ne sont pas pareils, il y a des bons dentistes qui ne pensent qu’au bien être du patient c’est difficile d’en trouver un bon et surtout qu’il soit rapidement consultable.
Eh oui, Mary, je compatis à tes souffrances et le pire c’est que si ce n’est pas les dents c’est autre part, le dos, les articulations, le ventre, la tête. Bon je clos l’épisode des tamalous. et pour finir je dis souvent : on se sent vivre bien plus que d’autres.Courage et bonne semaine
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