Autour et entre-nous

[thelog]

Jacques se retrouvait, après le naufrage de son BIPLAN, échoué sur cette ile perdue, il ne savait où. Dans la tempête toute notion de direction, emplacement lui était sorti de la tête. Il était en vie, c’est déjà ça. Il avait fait le tour de l’ile et il n’a rencontré personne, non aucun signe d’une présence humaine. Il était SEUL (je sais ça ressemble au film SEUL AU MONDE que j’ai apprécié et même revu plusieurs fois).
La première réaction qu’il eut alors est de se poser la question : « Comment appeler les secours ? Comment alerter de sa présence sur cette ile ? ». Ensuite viennent les questions sur : Comment rester en vie, l’eau potable, la nourriture, un abri ? Tout ça on y pense pas dans notre monde modelé pour nous. Mais quand on est seul et avec très peu de chose c’est pas évident.
Dans les débris de son avion, il trouva quelques petites choses pour l’aider à survivre. Heureusement pour lui il y avait une source d’eau douce sur l’ile et la nourriture ne manquait pas non plus. Le plus dur fut de faire un feu surtout pour cuire les CRABES qu’il attrapait. Il y arriva avec des morceaux de verre en faisant une loupe rudimentaire et avec le soleil dans ce CIEL sans nuage qui ne manquait pas les flammes réchauffèrent sa vie. Il fit même des grands brasiers pensant être aperçu au loin par un bateau qui passerait.
Mais Jacques restait SEUL sur cette ile. Une semaine s’était écoulée et un avion survola l’ile. On était à sa recherche et il venait d’être retrouvé. Il avait eu l’idée de mettre parmi la végétation un message prouvant sa présence et son désarroi. Le temps c’est pas ça qui manque quand on est seul.
Quelques jours plus tard, donc, un hydravion vint le chercher et il retrouva la civilisation avec le confort moderne qu’il appréciait bien plus maintenant.

Quand j’y pense à ce qu’une personne qui se retrouverait dans ce cas pourrait devenir, ça me fait froids dans le dos.
Et vous ?

• Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années par thelog.

[marysha62]

1 jour ou 2 sur une ile déserte çà ne me dérangerait pas si je sais qu’il n’y a aucun danger;mais ma famille et mes amis me manqueraient vite;ou il faudrait qu’ils soient avec moi sur l’île déserte mais ds ce cas là,déserte elle ne le serait plus;et même qu’avec moi seulement elle n’est déjà plus déserte;je parle pas de la faune et la flore.

[Queenie]

Je suis déjà si peu entourée que bof ça ne me dérangerait que moyennement. Et quand on voit comme le monde est, il ne me manquerait pas trop…Plus de virus, de guerre, de famines…Ou tout au moins on ne le verrait plus.

• Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années par Queenie.

[g.p]

Biplan-crabe-ciel.
Dans son village sauvage au milieu de la brousse Joseph s’est fait beaucoup d’amis depuis qu’il est arrivé aux commandes d’un BIPLAN rouge vif. La finesse et l’esthétique de son avion faisaient l’admiration des villageois qui n’avaient jamais vu pareil engin.
Joseph avait le coeur sur la main et rien ne lui faisait plus plaisir que de rendre service à ses amis. C’est ainsi qu’il fut sollicité pour conduire en métropole un des habitants pour se faire soigner des suites de récidive de cancer. Après l’avoir laissé tranquille un peu plus d’un an, voilà que le CRABE était revenu toujours aussi sournoisement.
Cette fois l’affaire était sérieuse mais il était d’un caractère gai et optimiste. Il monta à bord de l’appareil qui allait prendre son envol tout émerveillé comme un gamin qui découvre la mer pour la première fois. Intérieurement il se savait condamné mais il continuait à y croire et ce déplacement était un peu pour lui comme un dernier cadeau de la vie. S’élever dans le CIEL au-dessus des habitations, voler au-dessus des arbres et des forêts, jamais il n’aurait cru pouvoir le faire. Mais la générosité de Joseph permettait tout.
Après un long périple il se retrouva à l’hôpital où la crainte du professeur qui le suivait régulièrement se confirma. Les divers examens permirent de voir que le cancer avait développé ses tentacules dans tout le corps et que ses jours étaient maintenant comptés.
Qu’à cela tienne le patient remercia le professeur et son équipe et leur demanda de bien s’occuper de Joseph si par malheur un jour il en avait besoin car d’autres auraient besoin de Joseph.
Toujours aussi enjoué il se fit un plaisir de profiter d’un retour au village dans le bel oiseau volant.

[thelog]

Bien ton histoire GP
qu’il est doux de faire le bien et de donner à ceux qui ne peuvent rendre.
La santé est un bien très précieux prenons en soin du mieux que nous pouvons …

Le crépuscule avance sa tente du la soirée et bientôt la clarté du soleil ne sera plus avec ce ciel si voilé.
Je vous présente donc les 3 mots de demain en cette heure avancée.
Fragment
Aiguille
Harem

Dans le HAREM de MushaBoulba le vizir, la servante munie d’une AIGUILLE recoud le FRAGMENT d’étoffe dorée sur la magnifique robe de la favorite.

• Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années par thelog.

[marysha62]

james dans son BIPLAN bleu CIEL traversait la manche par une belle journée ensoleillée;il partait rejoindre son ami harold en angleterre;atterrissant sur un petit aéroport privé d’un autre de ses amis,il se demanda ce qu’il allait faire en attendant harold qui finissait un peu + tard que prévu son entraînement de tennis;il se contenta de se balader sur le sable les pieds ds l’eau;il avait remonté son pantalon au-dessus des genoux;mais malgré ses précautions il se retrouva trempé jusqu’aux cuisses, éclaboussé par une énorme vague inattendu;c’était l’heure pour lui de rentrer se changer;il se rendit chez harold,après avoir récupéré les clés chez le voisin,prit une douche rapide et se changea;son copain lui avait tjs dit:fais com chez toi;il avait laissé ds un placard quelques vêtements pour ses passages ici;il se servit un verre en attendant;1/4 h après harold arriva;après quelques paroles sans grand intérêt,il monta se douchait et se changeait;et ils se rendirent tout deux dans leur restaurant favori:le CRABE aux pinces d’or tenu par un autre ami d’école Raoul Granier qu’ils surnomment par ses initiales RG;après avoir mangé leur succulente paëlla et racontaient tt ce qui c’était passé d’important depuis leur dernière rencontre ils rentrèrent se coucher;james reprenait les airs le lendemain matin de très bonne heure;si le temps le permet bien sûr.
bonne nuit james,bonne nuit harold,bonne nuit rg! bonne nuit à tous!

[thelog]

Salut Mary, sympa la petite scène Britannique. Je ne crois pas que maintenant la traversée de la Manche même en aéroplane soit aussi facile. Mais c’est bon de s’imaginer un instant de quiétude avec des jeunes gens sans problèmes et vivant hors du temps.
Belle évasion.

Voyons maintenant les mots du jour : Fragment, Aiguille et Harem

C’était le crépuscule, celui qui tombe d’un coup dans les pays près de l’équateur (en un quart d’heure il fait quasiment noir). Une forme humaine se faufilait dans la végétation luxuriante de ce pays du moyen-orient. Elle s’approchait d’un palais gardé par quelques sentinelles à pas de velours comme un tigre ou une panthère. Quelles étaient ses intentions ? Certainement s’introduire dans le palais pour y commettre un acte lourd de conséquence que le propriétaire n’approuverait pas. Il réussit à franchir l’espace découvert sans être repéré et arriva au pied du mur de l’enceinte. Et hop, un petit tour de main et la fenêtre s’ouvrit sans bruit et sans déclencher l’alarme (c’était plutôt bizarre d’ailleurs : aurait-il un ou une complice dans la place ?). Il se dirigea alors vers les appartements des femmes du HAREM du Sultan Ibrahim. Là, une des concubines l’attendait dans le but de s’enfuir de ce palais car elle y était séquestrée contre son gré. L’homme en question était son fiancé et ensemble ils allaient gagné un pays lointain pour vivre heureux tous les deux. Le retrouver et la sortie du bâtiment n’allait pas être aussi facile que l’aller. Bien que tout le monde était endormi, un imprévu pouvait surgir et tout compromettre. Mais la chance était avec eux et dans la nuit très sombre (sans lune) ils réussirent leur coup et le lendemain ils étaient loin, très loin de cette prison dorée.
Le sultan fut furieux et ordonna des sanctions contre les gardes et ceux responsables de la sécurité. Il alerta les autorités et une enquête fut décrétée pour rechercher la fautive. Mais les seuls indices qu’ils purent trouvés furent une AIGUILLE provenant des cheveux de la femme et un FRAGMENT d’étoffe appartenant au ravisseur. Il n’y avait pas moyen de retrouver les fugitifs et cela demanderait beaucoup trop de ressources pour les retrouver où qu’ils soient. Le sultan donc fit abandonner les recherches et le couple enfin réuni put vivre heureux mais loin de leur pays natal, en exil.

[g.p]

Fragment-aiguille-harem.
Le sultan est d’humeur badine aujourd’hui. Il vient de quitter la salle du conseil où il a nommé vizir le fils de son premier ministre et dont il est sûr de la droiture et de la probité.
Il a envie de se détendre un peu et de se vautrer dans la luxure et pour ce faire, quoi de plus naturel que de se tourner vers son HAREM où se côtoient ses femmes, ses concubines, ses favorites et aussi des jeunes esclaves, toutes sous la surveillance des eunuques qui en assurent la garde.
Assis sur son trône couvert de draperie ornée de feuilles d’or et cousue de pierres précieuses, il donne l’ordre de lui envoyer une dizaine de ses conquêtes pour qu’il choisisse celle qui fera son bonheur du jour.
Devant lui défilent ainsi les plus belles qui ont toutes envie de lui plaire et de le satisfaire. Quel honneur d’être choisie!
De toute façon, consentantes ou pas, elles n’ont d’autre choix que de s’offrir à leur maître.
Il jette son dévolu sur une toute jeune et toute fraiche jeune fille sans doute encore pucelle qu’il n’a pas encore eu le plaisir d’honorer. Celle-ci s’approche alors du sultan qui d’un geste renvoie celles qui n’ont pas eu sa faveur.
Mais à son grand étonnement, le sultan lui ordonne d’aller chercher une AIGUILLE pour qu’elle puisse recoudre le liseré de sa tenue brodée qu’il a accroché accidentellement.
A quoi pensiez-vous en me lisant???
Ceci n’est qu’un FRAGMENT de mon récit. La suite n’est pas racontable, je vous laisse sur votre faim.

[marysha62]

non sur ta fin
jean marc est un beau jeune homme de 25 ans,grand et athlétique;il n’est pas que sportif,il est aussi intelligent,cultivé,généreux et drôle;tout pour plaire quoi!il est tjs entouré de pleins d »amis »mais surtout de jolies filles;qd ils parlent d’elle à jean marc,les garçons les surnomment:ton HAREM;çà ne lui plaît pas beaucoup,il trouve çà dégradant:çà implique une certaine soumission et çà il en veut pas;pourtant ttes ses filles qui lui « courent » après font tt pour attirer son attention et sont prêtes à tout pour « sortir » avec lui;mais lui,celle qu’il aime est la jeune serveuse du bar où ils se trouvent ts actuellement;devant ses amis il ne fait rien voir,mais çà fait très longtps qu’il est attiré par sarah;il n’a jamais osé l’approcher ni même parlé seul à seule;elle n’est pas jolie à proprement parler,mais elle est charmante, tjs souriante et a beaucoup d’humour;et il lui en faut beaucoup pour détourner les blagues un peu « lourdes » de certains clients;un soir,arrivant un peu + tôt que son groupe d’amis,alors que le patron du bar n’était pas là,jean marc entendit des FRAGMENTS de conversation entre sarah et un jeune homme qui semblait un peu bourré;lorsqu’elle leva des yeux implorants vers lui,jean marc comprit de suite qu’elle avait besoin d’aide car l’individu devenait entreprenant;il « cria »: »touche pas ma copine »!et le poussa vers la sortie;sarah pour le remercier l’embrassa sur la joue et il rougit et retourna s’asseoir;ayant remarqué une certaine timidité chez le jeune homme qui pourtant montrait ou semblait montrer une certaine assurance,elle lui apporta une bière et s’installa à sa table un moment pour discuter avec lui;et de fil en AIGUILLE elle comprit qu’il n’était pas du tout celui qu’elle imaginait; quand ses amis rentrèrent et que les filles virent la jeune fille discutait avec lui,elles la fusillèrent du regard;sarah repartit faire son boulot;elle avait déjà surpris à plusieurs reprises,le regard de jean marc sur elle,et bien qu’elle n’y était pas insensible,le prenant pour un coureur,elle préférait ne pas donner suite;mais là,elle s’était surprise « à rêver »quand il a mis l’individu dehors en disant « touche pas ma copine »; « être sa copine » et +; elle se mentait à elle même quand elle disait ne pas faire attention à lui;dès qu’il arrivait,il ne le sait pas mais elle ne pouvait pas s’empêcher de le regarder;et elle était jalouse de ttes ces filles qui gravitaient autour de lui,se disant qu’elle n’était pas assez jolie,ni assez sexy pour attirer son attention;elle leva les yeux sur lui et s’aperçut qu’il était en train de la regarder;il avait ds les yeux une petite lumière qui brillait;le lendemain il arriva 1h avt les autres;son coeur battait la chamade;elle vint lui apporter une bière et repartit derrière le bar com ci de rien était;il y avait du monde ce soir;elle servit les autres clients et repartit derrière le bar;ce qu’il ne savait pas c’est que son coeur à elle aussi battaità tout rompre et qu’elle n’osait plus s’approcher de peur qu’il ne l’entende;c’est alors que jean marc prit son courage à 2 mains et s’approcha du bar;il prit d’abord de ses nouvelles et ils discutèrent à bâtons rompus;elle servait les quelques clients qui rentraient et repartait discuter;de tps en tps leurs mains se frôlaient, provoquant à ts les 2 un certain émoi; leur regard se croisait de plus en plus fréquemment; jusqu’à ce que l’un en face de l’autre ils ne puissent plus se quitter des yeux oubliant ts ceux qui se trouvaient là;un grand amour était en train de naître.

[thelog]

Salut les mots pour demain

Machette
Saveur
Mathématiques

[marysha62]

oh la la pas de rapport entre les 3 çà va être dur
il faut que je machette un livre de mathématiques;quelle saveur ce nouveau livre!

[thelog]

Croquante ton histoire Mary. C’est quand les copines deviennent une seule que là ça devient sérieux. Et c’est tellement beau une petite histoire d’Amour.
Je voulais te demander : Pourquoi tu mets un « à » à « ça » c’est ta marque de fabrique ?
Mais t’inquiète ça n’est pas grave

Julien se trouve au plus bas. Paumé au milieu de cette jungle, il cherche de quoi se nourrir (normalement ce n’est pas ça qui manque dans un tel milieu). Mais Julien ne connait pas les plantes et les fruits. Avec sa MACHETTE il se fraie un chemin dans la végétation et puis il observe un groupe de singes en train de se restaurer. Voilà des fruits qui peuvent se manger et il en cueille quelques uns. hum, ça fait du bien ! Et quelle SAVEUR !
Le ventre un peu rempli, il repense à sa situation et comment il en est arrivé là après 3 ans de déchéance, de descente aux enfers.
Il ya 3 ans, il était encore parmi les habitants d’une grande ville avec un boulot agréable dans une grande entreprise dans le service comptable grâce à ses études dans les MATHEMATIQUES appliquées. Il vivait, alors, avec sa compagne et tout était pour le mieux, un bonheur sans faille. Ils pensaient même fonder une famille avec un bébé et se marier (pas forcément dans cet ordre).
Mais voilà, le destin (on peut appeler ça comme ça) en a décidé tout autrement.
Un jour, il fut appelé d’urgence à son bureau, situé au milieu d’un grand immeuble, par les urgences de l’hôpital le plus proche. Sa compagne était au plus mal et s’il voulait la voir encore quelques instants, il devait se dépêcher. Sans une ni deux, il sortit et alla retrouver sa chérie. Elle le vit arriver et des larmes s’écoulèrent sur se joues. Lui aussi pleurait. Ils savaient tous les 2 que l’espoir était vain d’avoir une issue heureuse à ce qu’ils vivaient actuellement. Les médecins lui avaient administré des calmants pour la douleur et elle ne souffrait quasiment plus. Mais dans quelques minutes maintenant elle ne serait plus. Ils sévirent des mots tendres et pleurèrent l’un contre l’autre. Puis ce fut la fin. Et le début de la galère pour lui le survivant.
D’abord la colère contre le chauffard qui avait tué son amour, puis la dépression, énorme, envahissante, dévastatrice, lui a fait dégringolé toute les marches de sa vie bien réglée en très peu de temps. Plus de boulot, plus de logement, et puis plus rien …
Maintenant il est là dans la jungle à suivre un groupe de singes pour apprendre à se nourrir.
Il avait bien des amis avant, mais c’est bien connu qu’on reconnait ses véritables amis que si on est dans le besoin et là plus personne.
Qui peut l’aider ? Accepterait-il cette aide ?
Il se rapproche alors d’un village, et trouve un baraquement abandonné qu’il aménage comme il peut. Puis il cherche un peu de boulot par ici ou par là. Il recommence à être connu parmi les hommes.
Puis, enfin, une inconnue fait attention à lui et décide de l’aider. Alors, doucement, il remonte la pente et retrouve le goût de vivre pour lui et les autres et surtout pour sa nouvelle amie.

Qu’il est très facile de sombrer dans notre monde qui n’admet pas l’échec. Marche ou crève est une devise du monde moderne en oubliant l’humanité à qui nous appartenons. Un peu d’aide et de compassion peut influencer une vie si ce n’est la sauver.

à ce soir

[marysha62]

merci thelog c’est une faute d’orthographe; j’essaierai de ne pas me tromper la prochaine fois çà (lol)ça va être dur;j’allais remettre l’accent;et com tu dis ça n’est pas grave
j’aimerai bien des histoires + gaies en cette fin d’année

[thelog]

Je sais, mais j’ai été influencé par ce que j’ai regardé à la télé hier soir sur FR3 ‘le squat’ avec Line Renaud
Demain, je te raconterai un beau conte de Noël avec de l’aventure et des émotions et du sentiment. (Si les mots s’y prêtent)

Pour l’heure, étant en congé, je vais mettre un peu d’ordre dans mes lectures en retard et poursuivre le cadeau de Noël de ma fille et de son copain : un livre d’enquête sur la seconde guerre mondiale et la machine « ENIGMA » et son décryptage. ça va m’amuser.

Et j’ai aussi des courses à aller chercher cet aprem. Et même un peu de jardinage en débarrassant les plantes des bacs.

à ce soir

[marysha62]

à ce soir

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