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  • #37822
    marysha62
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    maurice quand il était encore marié à yvette était apiculteur;mais quand ils ont divorcé,le femme a gardé la maison et le terrain avec les ruches et les milliers d’ABEILLES; et lui bernard,son labrador;en « perdant »sa femme il perdit en même temps son boulot;mais grâce à ses amis qui lui trouvèrent un logement pas cher,il put se remettre d’aplomb;les premiers mois ont été difficiles pour trouver un endroit ou dormir;seul c’était possible mais avec son CHIEN…;il dormait 1 semaine chez l’un,une semaine chez l’autre;mais il voulait son chez soi. il apprit par louise,une des rares amies de sa femme qui lui parlait encore, qu’yvette recherchait une personne pour vendre les pots de miel sur les marchés;elle avait proposé de lui en parler et elle n’avait pas dit non;une des conditions est de tjs avoir un intermédiaire pour les transactions et l’autre c’est qu’il lui laisse bernard de temps en temps; il pourra gardé les 3/4 du prix de la vente du miel; »pour l’instant ce sera toujours mieux que rien »:se dit-il;il dit à louise: »pour l’instant je n’ai pas vraiment les moyens mais dès que je pourrai je lui rachèterai mes ruches;c’était ça le souci entre eux il passait beaucoup plus de temps avec ses abeilles qu’avec elle;elle,elle rêvait de voyager,de partir quelques temps de ce village,voir d’autres endroits;elle ne demandait pas grand chose:juste s’évader un peu;mais il y avait tjs ces foutues abeilles;il fallait s’en occuper ts les jours;et le comble c’est que c’est elle qui les a récupéré lors du partage; »partage »c’est un grand mot;mais c’est normal c’est yvette qui a pratiquement tout payé,même l’élevage d’abeilles;elle travaillait quand ils se sont rencontrés et avait pas mal d’argent sur son compte;louise rapporta les paroles de maurice;considérant que c’était un cas désespéré yvette appela son notaire pour vendre à son ex le terrain ,les ruches et les abeilles à condition qu’il les rachète ds un délai de 15 jours à partir de la semaine prochaine;et elle en profita aussi pour mettre sa maison en vente;elle aimait tjs son mari,mais il ne changerait jamais;peut-être que plus tard elle reviendrait;mais là,il fallait qu’elle parte accomplir son rêve;il ne le savait pas encore mais maurice était devenu REVENDEUR de sa propre future production.
    j’aime pas ma fin ;j’ai du mal à caser revendeur

    #37823
    g.p
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    Revendeur-chien-abeilles.
    Tel un essaim d’ABEILLES, les enfants de la colonie de vacances toute proche s’en vont bruyants sur les chemins de campagne.
    Les vaches dans les pâtures verdoyantes les saluent en meuglant quand ils passent, les fleurs sauvages se plient légèrement devant eux, tandis que les petits colons déclament à tue-tête les chansonnettes de leur répertoire.
    C’est les vacances, le soleil n’est pas avare de ses rayons et chacun profite à sa façon du temps libre qui lui est offert.
    A son arrivée dans un petit village des environs, le groupe d’enfants a réveillé le CHIEN du fermier qui se reposa à l’entrée de sa niche. Il faut dire qu’il n’est pas habitué à voir autant d’animation dans ce coin perdu. A part son maitre et sa maitresse, ses compagnons habituels se limitent à quelques poules et poussins qui ne le dérangent même pas.
    Avant de s’éparpiller les moniteurs avaient donné les règles du jeu de piste qui consistent à ramener un oeuf, une fleur des champs, une pierre bleue, un petit animal en plastic, autant d’éléments qu’ils avaient disséminés dans les environs de la ferme et qu’ils devaient découvrir grâce aux indices fournis. Avec un plan détaillé dans les mains c’était jouable.
    Mais c’était sans compter sur le facétieux REVENDEUR de pièces pour machines agricoles dont la boutique qui était le seul commerce du coin se situait en face de la ferme, qui avait vu le matin même le chef de colo à la recherche de cachettes pour les différents objets. Sa mémoire fit un retour en arrière et il se revit tout gosse en colonie de vacances. Il s’amusa ainsi à récolter les objets dissimulés et à leur place il déposa des indices qui infailliblement ramèneraient les gamins à sa boutique.
    C’est ce qui se produisit: la troupe d’enfants se retrouva chez le commerçant qui tout heureux de la réussite de son plan, leur servit quelques gâteaux et boissons rafraîchissantes. Tous discutèrent longtemps avec cet homme ravi de revivre un peu de sa jeunesse et qui leur donna une petite leçon de vivre ensemble.

    #37830
    marysha62
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    sympa ton histoire gp

    #37831
    thelog
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    la petite histoire Chien, Revendeur, Abeille

    C’était lors d’un été très chaud, la journée avait commencé par un beau ciel bleu, sans nuage. La famille PASDEBOL avait décidé de passer quelques bons moments sur cette aire de repos tout près du vieux moulin à eau et donc tout à côté d’un agréable cours d’eau.
    L’air était déjà étouffant quand ils arrivèrent à l’emplacement du pique-nique. L’installation ne posa aucun problème et le repas froid et les boissons rafraichissantes amenèrent le bien-être parmi les convives. Surtout qu’ils s’étaient allongés en dessous des arbres pour profiter de l’ombre. Bien sûr, qui dit plein air et été dit aussi insectes et arachnides. C’est pour ça que les fourmis et les guêpes n’étant pas invitées furent quand même de la partie attirées par les aliments sucrés. Le petit Pierre eut d’ailleurs la malencontreuse aventures de se faire piquer par une guêpe et il pleura à cause de la douleur occasionnée. Du coup il était grognon et chassait tous les insectes autour de lui, y compris les pauvres ABEILLES qui n’y étaient pour rien et se contentaient de butiner les fleurs du bord de la route.
    Le CHIEN de la famille quand à lui, faisait une grande sieste couché près d’un saule pour profiter à fond de son ombre rafraichissante.
    Puis, ce fut, comme on pouvait s’y attendre, cet orage qui éclata à la vitesse de l’éclair (c’est le cas de la dire) et en un quart d’heure une pluie diluvienne trempa tout ce beau monde, le chien alla alors se réfugier dans le vieux moulin, suivi au plus vite des enfants et des adultes.Tous étaient trempés jusqu’aux os et heureusement que cette pluie n’était pas trop froide car il y aurait alors quelques coups de froid qui seraient apparus.
    L’intérieur du moulin, à la surprise de ces dames avait vu un REVENDEUR en parfum y créer un petit stand proposant diverses fragrances provenant des fleurs et des plantes des alentours. Cela se présentait en petits sachets que les dames de la famille achetèrent pour parfumer les placards de la maison ; un peu de lavandes éloigne les indésirables et donne un air de frais au linge.
    Au bout d’une demi-heure l’orage cessa et toute la petite famille prit congé du vieux monsieur du moulin pour rentrer changer de vêtements à la maison.
    La piqûre et l’averse étaient les 2 incidents qu’ils avaient subis sans trop de dégâts. Ils avaient eu pas mal de chance cette fois.
    Habituellement les bobos étaient plus sérieux vu leur nom de famille.

    Voilà, une petite histoire pour vous rappeler ces instants passés dans la nature avec ses avantages et parfois ses inconvénients.

    Maintenant les 3 prochains mots :
    Poids
    Crayon
    Corniche

    #37841
    marysha62
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    oui heureusement qu’il y a plus d’avantages que d’inconvénients
    quel poids fait un crayon qui tombe d’une corniche et qui s’écrase sur ton crâne?trop léger pour que tu t’en sorte sans le sentir ou alors trop lourd et peut te blesser gravement voir te tuer?

    #37842
    g.p
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    Poids-crayon-corniche.
    Penché sur sa table à dessin, l’architecte travaille au projet de construction d’un immeuble à intégrer dans le paysage en tenant compte de l’architecture dominante de l’endroit qui a été choisi par les autorités de la ville.
    A grands coups de CRAYON et de gomme, il dessine et redessine les contours d’une fenêtre, d’un porche d’entrée, d’une porte en forme d’ogive. Tout doit être calculé au millimètre près pour que l’ensemble soit harmonieux et esthétique mais aussi solide et surtout dans les normes draconiennes de sécurité. Le tout doit être conçu dans la limite d’un budget défini à l’avance.
    Le plan de façade se termine, le choix des matériaux et des menuiseries se confirme mais notre homme reste perplexe face au cahier des charges. La CORNICHE de l’immeuble qu’il doit imaginer doit être à l’exacte hauteur de celle des immeubles voisins pour qu’il y ait continuité de l’ensemble, afin de ne pas défigurer le quartier classé dans lequel se situe la construction.
    Il aurait bien aimé concevoir un immeuble légèrement plus haut dans le même style qui n’aurait finalement pas défiguré l’ensemble, créant même une sorte de cassure volontaire et pas du tout disgracieuse à ses yeux. Au contraire le nouvel immeuble aurait été mieux mis en valeur. Mais le POIDS des menaces représentées par les donneurs d’ordre le font réfléchir et finalement il renonce à ce qu’il aurait vraiment voulu.
    Pourquoi donc des gens qui n’y connaissent pas grand chose en matière d’architecture réussissent-ils toujours à imposer leur loi? Pourquoi vouloir tout uniformiser?
    Il en est là de ses réflexions lorsqu’il éteint sa lampe pour aller se coucher en espérant que la nuit lui portera conseil.

    #37848
    thelog
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    Bien GP c’est en fin de compte l’argent et ses détenteurs qui règnent sur les projets. L’art est « superflu » et limite non rentable surtout dans le domaine de l’architecture.
    Mary, tout objet tombant peut s’avérer être une menace tout dépend comment et où il tombe (même une plume peut si elle s’introduit dans les voies respiratoires provoquer un décès alors tu penses le crayon bien taillé peu pénétrer l’oeil et faire bien mal.
    Et oui Newton avait vu juste et tout ça n’est qu’une affaire d’attraction (et pas de fête foraine mais universelle)

    Bon passons à mon histoire : Poids Crayon et Corniche

    L’alpiniste effectuait l’ascension de ce pic abrupt pour la première fois. Il venait de réussir l’ascension de l’autre versant mais celui-ci est plus ardu, plus escarpé et avec beaucoup moins de prises. De plus les températures sur cet ubac n’étaient pas des plus clémentes. Il devait donc faire très attention. Pour le moment il se trouvait sur une toute petite CORNICHE et se demandait à chaque pas si son POIDS n’allait pas la faire céder. Quand enfin il eut quitté ce passage difficile, il fit un pause durant laquelle il dessina sur un calepin quelques croquis pour une future expédition avec un vieux CRAYON qu’il considérait comme son objet fétiche. Lorsque le moment de bivouaquer était arrivé il se trouva un petit renfoncement assez spacieux pour y installer sa tente et ainsi passer la nuit relativement au chaud dans son duvet. Et le lendemain il finirait par atteindre le sommet en ayant triomphé des pièges de la montagne.
    La passion de la montagne pour les alpinistes est parfois meurtrière et la montagne prend son lot de vies surtout des imprudents ou même des expérimentés pris dans des conditions extrêmes.
    Mais la recherche d’adrénaline, de sensations, d’exploits fait faire des folies qui peuvent nous coûter l’existence et là où est le héros, où est le vainqueur ?

    Entre nous je suis bien trop pépère pour m’adonner à des activités dangereuses j’aime bien mon chez-moi et sa sécurité.
    Pas vous ?

    je vous donne les 3 mots de demain :
    Balai
    Tapis
    Paroles

    il y aura de la magie dans l’air demain :
    des paroles magiques pour se faire envoler le tapis et le balai, sorcières et génies seront au rendez-vous de la soirée sortilèges.

    #37854
    marysha62
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    à la une :arrestation de »jules la bascule »
    celui qu’on surnomme « jules la bascule » a été arrêté ce matin chez lui.De son vrai nom Marc Hassin,jules la bascule surnommé ainsi parce qu’il « basculait » ses victimes par la fenêtre après les avoir enfermées ds un sac et lestées d’un POIDS de 50kgs a été retrouvé grâce à son CRAYON feutre tombé sur la CORNICHE de sa 5ème victime;lequel servait à signer ce qu’on suppose être son pseudo jul sur le front de ses futurs victimes;grosse erreur:jusque maintenant aucune empreinte, rien pour le démasquer;et là ce feutre avec son nom et prénom;après quelques recherches la police a eu vite fait de retrouver l’adresse de marc hassin;l’affaire est en cours;comment choisissait-il ses victimes?pourquoi jul?
    à demain pour plus d’amples informations.

    #37860
    thelog
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    Bonjour à vous tous

    C’était un vendredi 13, un de ces vendredis qui porte chance ou malheur, c’est selon. Le chat noir était couché dans le fauteuil près de la cheminée crépitante ; mais son sommeil n’était pas très profond car il entendait des petits bruits venant d’un placard juxtaposant la cheminée. Cela faisait des jours qui cette souris le narguait et bientôt il en ferait son 4 heures ; vous pouvez en être assuré. Le chien, quand à lui, était couché sur le TAPIS secouant les pattes dans son sommeil agité et exprimant des petits « Ouaf » comme s’il chassait le chat. Tout était au plus calme dans la chaumière et dans la lustre une araignée refaisait sa toile à l’abri des regards. La vieille horloge faisait résonner son « TIC ….. TAC » égrenant ainsi les secondes et tout doucement 7H arrivait, l’heure du levé des membres de la famille avec l’aurore qui étalait sa clarté sur cette belle campagne et du coup apportait un peu de lumière au travers des fenêtres. Puis, soudain, des PAROLES vinrent casser le silence et réveiller les animaux endormis qui s’étiraient en ouvrant les yeux.
    C’était la maman qui réveillait ses enfants pour qu’ils se lèvent et se lavent et puis prennent leur petit déjeuner et enfin se préparent à aller prendre le car pour l’école.
    Papa était déjà parti travailler depuis 1 heure et Maman avait des tas de choses à faire dans la maison et aussi en ville.
    Quand les enfants furent partis, elle prit son BALAI et fit le tour de la maison pour ramasser les miettes et poussières avant de « dueler » ou « wassinguer » la maison.
    Et ce fut là que le phénomène du vendredi 13 intervint. En voulant prendre le balai celui-ci s’écarta de ses mains, comme ayant sa propre volonté il se mit à flotter dans l’air comme celui d’une sorcière.
    La dame, pas trop étonnée car ce n’était pas la première fois que cet outil domestique lui faisait le coup de la grève, calma tout de suite le jeu par une incantation bien choisie ; faut dire que dans sa famille les sortilèges et enchantements sont monnaie courante.
    L’épisode du balai terminé, ce fut au tour du tapis de manifester son désir d’indépendance en se mettant lui aussi à flotter après avoir congédier le chien pas du tout content d’ailleurs. Et on voyait bien qu’il n’avait qu’une seule envie : quitter cette maison et s’envoler vers le pays des bons ou mauvais génies pour vivre un rêve bleu au côté d’Aladin. Là aussi une formule remit les choses en ordre.
    Mais la maman magique soupçonnait qu’un petit garnement devait être derrière tout ça et elle entendit rire dans la pièce voisine et en effet son petit dernier était tout en joie. Elle lui fit des gros yeux et lui ordonna d’arrêter ses bêtises. (la magie est importante dans sa famille) (petit parallèle avec la force de star wars)
    Et la journée se passa sans autre incident au soir elle dit à son mari que le moment de « responsabiliser » le petit devenait pressant et qu’une vingtaine de séances chez un éducateur lui ferait le plus grand bien. Il était temps que le petit aille faire un tour à l’école des petits sorciers.

    #37870
    g.p
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    Balai-tapis-paroles.
    Concetta, la bonne à tout faire de la maison était une vraie tornade. De la cave au grenier elle nettoyait tout du sol au plafond. Ses employeurs étaient très contents d’elle car jamais ils n’avaient eu une maison aussi bien entretenue.
    Dès le matin, le BALAI était de sortie pour laver le sol de la cuisine. Puis c’était la salle à manger et le salon qui subissaient les assauts de la petite Concetta.
    Un jour sous l’effet de l’aspirateur, un coin du TAPIS du salon se souleva et découvrit un billet de cinquante francs qui représentait une dizaine d’heures de travail de la préposée au ménage. Pour elle c’était une somme énorme. Aussitôt elle le ramassa et l’enfouit dans sa poche sans trop réfléchir. Elle acheva sa demi-journée de nettoyage tout en pensant quand même à l’attitude qu’elle devait adopter vis à vis de ses patrons.
    Devait-elle se taire et empocher l’argent? Devait-elle parler de sa trouvaille? Les patrons n’avaient-ils pas dissimulé exprès ce billet pour tester sa probité? Autant de questions qui la faisaient réfléchir, tiraillée entre le désir de garder cet argent et sa conscience qui lui disait le contraire.
    Elle était encore toute perplexe quand de derrière la porte, s’éleva la voix du maitre de maison tenant des PAROLES désobligeantes envers son épouse, lui reprochant d’être un peu trop dépensière et en lui faisant remarquer qu’il lui avait remis cent cinquante francs en début de semaine.
    Aussitôt Concetta pensa à sa bonne patronne qui avait des comptes à rendre à ce mari très avare.
    La décision de Concetta était prise. Elle remit le billet à sa place sous le tapis sans éveiller le moindre soupçon et attendit la suite des événements. Elle n’était pas très futée mais elle pensait quand même que ce n’était pas le fruit du hasard si ce billet se trouvait là.
    Bien lui en prit car quelque temps plus tard elle vit le maitre de maison soulever le coin du tapis pour s’assurer de la présence du billet. Elle osa alors l’affronter et lui indiqua que ce billet était là depuis une semaine mais qu’elle l’avait laissé en place, ne sachant à qui le remettre soit à madame soit à monsieur.
    Ce dernier la remercia et la récompensa de son honnêteté en lui donnant une pièce de dix francs.
    Elle espérait plus mais ça n’était déjà pas si mal venant de lui.

    #37881
    Queenie
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    Tu peux m’envoyer Concetta STP GP? J’aurais bien besoin d’une tornade blanche…

    #37882
    g.p
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    Désolé Queenie, je me la garde.

    #37889
    thelog
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    Ménage, ménage … attention la poussière crame chauve est là avec toute sa panoplie de produits nettoyants désinfectants et etc.

    sur ces airs de désirée Less (le balai à brosse de la chanson) je vous propose les 3 prochains mots:
    Cloche
    Utilisation
    Dessin

    #37890
    marysha62
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    un peu le même genre que toi g.p
    julia est concierge dans la résidence de 3 étages « les sables blancs »;elle loge au rez-de-chaussée;elle est chargée de faire le ménage des parties communes:couloirs,escaliers,hall d’entrée…alors qu’elle est en train d’aspirer le TAPIS devant la porte d’entrée,elle vit descendre la locataire du 2ème et se dit: »tiens voilà la pétasse »;c’est pas à cause de sa façon de s’habiller:sa robe rose bonbon et toujours perchée sur ses hauts talons,mais parce qu’elle ne dit jamais bonjour et l’ignore complètement;pas comme le couple du 1er :monsieur et mme girard:paul et virginie qui ont toujours une bonne PAROLE pour elle et qui lui ramène de temps en temps des petits cadeaux;sur le même palier se trouve les « rafales » c’est comme çà que julia appelle le jeune couple;toujours pressés; juste un bonjour rapide et ils sont dehors;au second en face de la « pétasse »,on trouve monsieur lucien:un monsieur d’une cinquantaine d’années,toujours bien habillé,toujours bien poli,pas très causant:genre « bonjour vous allez bien aujourd’hui ! »;il attend la réponse et repart à ses occupations;tout ce que julia sait de lui c’est qu’il est professeur d’anglais et divorcé;alors qu’elle était en train de ranger les BALAIS,les seaux,l’aspirateur ds le placard sous l’escalier du rez de chaussée,elle entendit; »bonjour julia » suivi par 4 « bonjour madame, bonjour, bonjour, hello »;la famille « tuche » comme elle les appelle gentiment venait du 3 ème étage:l’appart le + grand de la résidence qui en fait toute la surface ;lisa martin et ses 4 enfants(léa 4ans,jade 6 ans presque 7,théo 10 ans et lorie 14 ans) partent faire leurs courses comme tous les mercredis;ils ont toujours quelques choses à raconter;c’est tellement agréable d’avoir de la compagnie et ils sont tellement gentils tous;à peine partis,m.julien le locataire du rez de chaussée passa la tête à la porte et dit « mademoiselle julia je vous offre un petit café »; »avec plaisir »;je vais me changer et j’arrive; »elle sait très bien qu’il en pince pour elle;il s’arrange tjs pour sortir au moment où elle est ds le hall; et elle, n’est pas insensible à son charme;elle se fit un peu coquette juste ce qu’il faut et alla taper en face;elle entra et referma la porte.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années par marysha62.
    #37896
    thelog
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    La vie en appartement, c’est spécial ; perso je ne pense pas que je m’y serai adapté. J’aime trop les grands espaces de ma campagne même si je suis du genre casanier. Mais je peux comprendre que certains aiment ça. Il y a les contacts et tout un assortiment d' »humains » comme tu le décris si bien dans ta petite bafouille Mary.
    Et ce qui est parfois très riche dans ces regroupements ceux sont les passés des gens qu’on y rencontre. Des histoires quelque fois incroyable et ça me fait penser aux pensions que j’ai pu découvrir lors de mes lectures de Balzac par exemple, là aussi les communautés rapprochées étaient pleines d’anecdotes pittoresques (de quoi écrire des romans)
    Bon assez parler … Laissons venir la fatigue et la bonne nuit de sommeil réparatrice.

    à demain chères lectrices et chers lecteurs

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années par thelog.
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