Oui Mary je le savais que nos conversations apparaissent dans Google, je l’avais vu lors de précédentes recherches. Donc faut faire gaffe à ce qu’on y met. Mais nous sommes entre gens des plus corrects alors « Panni Problème » comme on dit dans les iles. Au fait les noms je les ai inventés.
Autre chose, et à propos de pouvoir d’endormir le soir, je suis content que ma petite histoire t’a reposée. Faudra que j’pense à orienter mes récits pour qu’ils soient reçus comme des contes à faire DODO (et non à dormir debout)
Bon, c’est pas tout ça mais on a du boulot
Dans un premier temps les 3 mots (comme ça j’oublie pas) : Lianes, Record, Conducteur
Et maintenant la petite histoire du soir.(avec Trois, Astrologie et Doute)
Il était une fois dans un pays lointain et imaginaire, une jeune fille qui ne connaissait pas encore le monde de l’extérieur de sa maison. Jamais elle ne sortait, jamais elle ne se mettait à la fenêtre pour regarder au dehors. Elle vivait heureuse dans sa maison avec sa maman et son papa et son petit chien « Tobby » et une gentille petite chatte « Mitzy ». Elle s’occupait à des tas de choses et ne s’ennuyait jamais. Tout était pour le mieux.
Puis un jour, ce fut comme un déclic. Elle s’est demandée, ce jour-là, ce que papa pouvait bien aller faire quand il passait cette grosse porte si peu accueillante. Elle en parla avec Tobby et Mitzy car elle comprenait ce qu’ils disaient et ils comprenaient ce qu’elle disait (c’était tout comme Dolittle le docteur qui parle aux animaux) et ils lui dirent qu’au delà de cette porte le monde était merveilleux, plein de couleur, de lumière (sauf la nuit où on voit plein de petits points brillants dans le ciel). Par contre il ne faisait pas toujours très chaud et souvent de l’eau nous tombait dessus (mais ce n’était pas la douche, ni le bain). La jeune fille tout étonnée réfléchissait et dans son esprit naissait un petit doute sur son univers qu’elle voyait maintenant un peu trop restreint.
Elle appela sa marraine, la fée bleue (eh oui elle est là aussi) et lui demanda si elle pouvait sortir pour découvrir les merveilles du monde. Sa marraine lui dit alors que si elle désirait quitter la maison rassurante et parcourir un univers inconnu et peut-être dangereux, il lui faudrait faire trois choses. La première est de toujours suivre les conseils de ses parents, la seconde est de regarder attentivement en les étudiant de long en large les endroits et les personnes qui se présenteront à elle et enfin la dernière recommandation lui intimait le doux conseil que si elle était en grande difficulté elle ne devait pas hésiter à appeler sa marraine « au secours » et en un instant elle serait là pour la sauver de toute situation délicate.
Encouragée par ces instructions elle demanda à papa et maman la permission de voyager dans la contrée et de s’instruire sur le « pourquoi et le comment » est fait le monde de l’extérieur. Ayant eu leur consentement, elle prit des provisions et de quoi payer les transports et « vlan » la porte se referma dans son dos. Elle se trouvait alors sur le seuil avec son chien et son chat. Ils l’accompagnèrent jusqu’à la route et retournèrent dans la maison au chaud et à l’abri.
Au début, tout était beau, chaque animal lui disait son nom et elle apprit même le nom de toutes les fleurs et plantes qu’elle voyait. Les gens du village le plus proche l’accueillirent avec gentillesse et elle passa des jours à apprendre la vie du dehors.
Puis la mauvaise saison s’installa et s’aventurant dans des régions peu hospitalières, elle fut bientôt dans les difficultés. C’est là qu’à un croisement un château apparut au loin sur l’horizon, avec une drôle de tour ayant un trou dans la toiture. Elle se dirigea d’un bon pas vers cette demeure princière et frappa à la porte en utilisant le marteau en forme de dragon. Un petit homme vint lui ouvrir et lui demanda ce qu’elle désirait. Elle demanda l’hospitalité pour cette nuit et à connaitre le maitre de ces lieux si beaux et si intrigants. Le domestique ferma la porte et alla s’enquérir de la volonté du maitre. Puis la porte se rouvrit et on la pris d’entrer. Elle découvrit alors des espaces grands et somptueux, il faisait chaud et une douce odeur de cuisine lui donnait faim. Elle s’avança un peu plus et fut interpelée par le comte de Boursiflor le châtelain vivant dans ce château. Il lui demanda de s’assoir et si elle désirait un rafraichissement. Ce qu’elle accepta en prenant une tasse de thé. Puis ils se mirent à converser et à raconter leurs passions si différentes mais si intéressantes. Puis le comte lui demanda « De quel signe êtes-vous ? ». Là la jeune fille fut surprise car elle ne comprenait pas cette question. Le comte était passé expert en astrologie et il recherchait depuis longtemps une personne ayant certaine disposition astrales. Il lui expliqua que les astres dans le ciel à une époque formaient des formes géométriques particulières et que ces mêmes astres influençaient la vie des êtres intelligents de ce monde. La jeune fille fut plutôt crédule et lui donna quand même les circonstance de sa naissance car papa et maman les lui avaient apprises. Le savant des étoiles fit de nombreux calculs et les refit plutôt trois fois qu’une et puis se décida à parler à la jeune fille de sa découverte. « Mademoiselle », lui dit elle; « vous êtes la personne que j’attendais et avec vous à mes côtés rien dans ce monde ne serait nous être refusé. Voulez-vous devenir ma compagne et vivre dans la richesse et tout puissant jusqu’à la fin de vos jours ? ».
Vous comprendrez que la demoiselle fut très surprise et demanda quelques temps de réflexion. Mais le comte ne voulait plus par soif de pouvoir, la laisser libre de ses choix et l’enferma dans une pièce lui rappelant sa petite maison où vivaient ses parents.
Elle se mit alors à pleurer et appela sa bonne marraine la fée. Celle-ci mit du temps à franchir les nombreux obstacles maléfiques que le comte (car il était sorcier) avait placé autour du domaine. Mais elle finit par se présenter et apparaitre dans la pièce où se trouvait la jeune fille. Elle étudia aux dires de sa filleule la situation et avec les choses qu’elle avait affrontées, elle sut que de tirer la jeune fille des serres de ce démon serait des plus difficiles. Mais le courage ne leur manquait pas et avec force et détermination les verrous tombèrent les uns après les autres et finalement face au comte sur le chemin de la liberté elles le quittèrent sans regret, car ce qu’il avait à offrir était dénué d’humanité et d’amour (seules la puissance et la richesse n’ont rien d’autre à donner que la froideur d’un coeur de pierre)
Elle retourna chez ses parents et retrouva son petit monde si reposant et si aimant. Plus tard un prince la séduira et ensemble ils construiront aussi un petit nid de bonheur.
, le il y a 4 heures et 37 minutes.
