Julien, le nostalgique, dessina sur la feuille (5) de papier un petit papillon de couleur pastelle. Il pense à ces instants merveilleux qu’il vient de passer avec Pauline, sa fiancée, dans le jardin du château de Versailles qui est en cette saison de l’été tout en fleur. Et il se mit à rêver que le papillon s’envolait vers sa dulcinée lui apportant sur ses ailes si fines et fragiles les mots d’amour que lui dicte son cœur.
Pas une ombre à l’horizon. Dans sa vie, tout est pour le mieux. Ils sont HEUREUX ensemble et lorsqu’ils ne se voient plus Julien commence à avoir le bourdon (3). Et il prend une feuille de papier pour y écrire une chanson, un poème qu’il lui clamera lorsqu’il la reverra. Amour, Amour, quand tu nous tiens plus rien n’existe, et l’éloignement fait naitre dans la tête des pensées troublées comme un tubercule difforme (2) (excusez je n’ai pas trouvé mieux pour l’amener celui-là). L’absence a portant du bon, puisqu’elle permet de comprendre à quel point tout est dépeuplé quand un seul être nous manque (je sais c’est du classique). Et pour finir, bien que mon histoire ne commence pas par « il était une fois » je termine par : « ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants » on peut y ajouter « en vivant dans le bonheur »
Merci à vous tous qui nous suivaient …
à demain pour la pénultième énigme.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 2 mois par thelog.